Projection
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tout public
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Amphithéâtre - Cité de la musique
« Images d’une oeuvre n°20 : Notturno sulle corde vuote de Francesco Filidei », un film de Philippe Langlois et Véronique Caye
Projection suivie d’une rencontre avec le compositeur et l’équipe du film
Coproduite par l’Ircam-Centre Pompidou, la série de films documentaires « Images d’une œuvre » décrypte le processus d’élaboration d’une œuvre musicale avec électronique et permet d’entrer dans les coulisses de l’Ircam : saisir quelques étapes de la fabrication d’une œuvre, voir un compositeur au travail, éclairer les sources et les enjeux de créations récentes produites à l’Ircam.
Depuis plus de vingt ans, Francesco Filidei tente de caresser et de toucher les instruments, « comme s’ils étaient des animaux pétrifiés victimes d’un sortilège ». Il s’attache à les faire parler au moyen d’un appareillage électronique placé à l’intérieur de leur corps. Le quatuor est d’abord utilisé comme une famille de masques africains, l’électronique fournissant une grande partie de la matière sonore. Laissant parler ses intuitions, Filidei appréhende les instruments dans leur position normale : il développe son discours musical à partir de la corde à vide de sol, et procède par cycle de quintes ascendantes puis descendantes, avant le retour du chant initial.
Projection suivie d’une rencontre avec le compositeur et l’équipe du film
Coproduite par l’Ircam-Centre Pompidou, la série de films documentaires « Images d’une œuvre » décrypte le processus d’élaboration d’une œuvre musicale avec électronique et permet d’entrer dans les coulisses de l’Ircam : saisir quelques étapes de la fabrication d’une œuvre, voir un compositeur au travail, éclairer les sources et les enjeux de créations récentes produites à l’Ircam.
Depuis plus de vingt ans, Francesco Filidei tente de caresser et de toucher les instruments, « comme s’ils étaient des animaux pétrifiés victimes d’un sortilège ». Il s’attache à les faire parler au moyen d’un appareillage électronique placé à l’intérieur de leur corps. Le quatuor est d’abord utilisé comme une famille de masques africains, l’électronique fournissant une grande partie de la matière sonore. Laissant parler ses intuitions, Filidei appréhende les instruments dans leur position normale : il développe son discours musical à partir de la corde à vide de sol, et procède par cycle de quintes ascendantes puis descendantes, avant le retour du chant initial.
Comment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris