
Saison 2021-22
Découvrez tous les temps forts de la saison 2021-22 !
Réservez vos place à l’unité ou abonnez-vous pour toute la saison (septembre 2021-juin 2022).
Les concerts de l’Orchestre de Paris



C’est à un somptueux florilège ravélien que nous convie ce programme, illustrant le talent d’orchestrateur du compositeur qui s’entend comme nul autre à magnifier les timbres instrumentaux, coulant des alliages inouïs et opposant les textures.


C’est un diptyque imposant que constitue la réunion de la Première Symphonie de Brahms, encore composée sous le regard intimidant de Beethoven, et du célèbre Concerto pour violoncelle de Dvořák, non dépourvu, pour sa part, de couleurs brahmsiennes.


Tempête orchestrale au climat sans cesse changeant et à l’architecture de véritable petite symphonie, l’ouverture de l’opéra de Verdi donne le ton de ce flamboyant programme porté par la… force du destin.


Deux chefs-d’œuvre de poésie pédagogique composent ce programme : le délicieux The Young Person’s Guide to the Orchestra de Britten et le magistral Pierre et le loup de Prokofiev, tous deux destinés à l’initiation des enfants aux timbres instrumentaux.

Est-il possible de peindre avec des sons ? La musique peut-elle donner le sentiment de l’espace, ou du paysage ? Ce sont de telles questions, ancrées dans les spéculations esthétiques du romantisme, qui réunissent trois partitions vouées au voyage.

Initiée en 1952, la collaboration entre Federico Fellini et Nino Rota ne s’acheva qu’à la mort du compositeur, en 1978. Mais le mot « collaboration » est faible : c’est une fusion, une vraie communion artistique qui s’élabora entre les deux créateurs.

L’univers de Fellini se compose de personnages hauts en couleur, d’abord rêvés puis dessinés par le réalisateur. Une sélection d’extraits de films, de dessins et de musiques dévoile pour le jeune public toute la magie du Septième Art.

Dédié à Rostropovitch, le Concerto pour violoncelle n° 1 de Chostakovitch brille par sa théâtralité sarcastique. En regard, la Sixième Symphonie illustre la poétique brucknérienne : cellules mélodiques et rythmiques matricielles et hiératisme monumental.


Pour écrire des symphonies, Brahms attendit de se sentir affranchi de la grande ombre de Beethoven. Mais, des quatre qu’il composa le moment venu – à l’âge de 44 ans –, les deux dernières sont de purs et incomparables chefs-d’œuvre.


Pierre de touche de l’histoire du cinéma d’animation et tour de force technique, Fantasia demeure une passionnante expérience visuelle et sonore. Car c’est bien autour de la musique que fut élaborée cette suite narrative.





Autour du Concerto pour piano n° 1 de Tchaïkovski, aussi virtuose que populaire, Klaus Mäkelä nous offre ce soir un florilège orchestral haut en couleur, alliant la passion russe au raffinement français et à la fièvre espagnole.



Les orchestres internationaux



À la sorcellerie évocatoire de Weber, dont les enchantements inspirent à Hindemith une réponse à la fois critique et amoureuse, succède la majesté de l’ultime symphonie de Schubert : qui, mieux que les Berlinois, pouvait magnifier de telles pages ?

Pour accompagner l’alacrité grisante de Prokofiev, la puissante dialectique du drame shakespearien revu par Tchaïkovski constitue une véritable ode à l’orchestre, à laquelle répond, par son frémissant hommage à la nature, l’art délicat de Josef Suk.

Considéré comme l’un des dix meilleurs orchestres mondiaux par le BBC Music Magazine, le Budapest Festival Orchestra revient à la Philharmonie pour un concert placé sous la direction de son fondateur Iván Fischer.

Le London Symphony Orchestra, dirigé par Sir Simon Rattle, qui a récemment étendu son contrat à la tête de la phalange londonienne jusqu’en 2023, se consacre à deux compositeurs d’Europe centrale : Mahler et Bartók.

Daniel Barenboim et la Staatskapelle Berlin mettent au service des quatre symphonies de Schumann leur profonde proximité et leur connexion musicale. Ce premier concert est consacrée aux symphonies n° 1 et 2.

Daniel Barenboim et la Staatskapelle Berlin mettent au service des quatre symphonies de Schumann leur profonde proximité et leur connexion musicale pour une intégrale en deux soirées. Ce deuxième concert réunit les symphonies n° 3 et 4.

Gianandrea Noseda, qui en est l’un des chefs principaux invités, mène le London Symphony Orchestra dans la Quinzième Symphonie de Chostakovitch et le Concerto « L’Empereur » de Beethoven avec Beatrice Rana.

À la tête de la formation romaine dont il est le directeur musical depuis 2005, Antonio Pappano interprète deux œuvres nées à la toute fin du XIXe siècle, de Dukas et la Première Symphonie de Sibelius, tandis que Jean-Guihen Queyras joue Saint-Saëns.

En 1994, Maria João Pires gravait avec André Previn ce qui demeure l’un des plus grands enregistrements du Concerto pour piano n° 2 de Chopin (DG). La même poésie embaumera sans doute cette soirée dont l’orchestre finira par prendre le large.

Avec La Fiancée du tsar de Rimski-Korsakov, Tugan Sokhiev et l’Orchestre national du Bolchoï poursuivent la tradition qu’ils ont mise en place voici quelques années : faire venir l’opéra russe au public de la Philharmonie.

Leur premier concert commun en 2005 a inauguré une fructueuse collaboration entre Fabio Luisi et l’Orchestre royal du Concertgebouw d’Amsterdam. Le chef italien et la phalange néerlandaise reviennent à la Philharmonie pour une soirée russe.

Thomas Guggeis dirige le West-Eastern Divan Orchestra, fondé en 1999 par Daniel Barenboim pour œuvrer à la rencontre et à l’entente entre musiciens arabes et juifs, dans Ma Vlást de Smetana.

Daniele Gatti et les Münchner Philharmoniker célèbrent le romantisme germanique : avant l'envoûtante Neuvième de Bruckner, ils sont rejoints par Renaud Capuçon dans le concerto le plus célèbre de Max Bruch.

Andris Nelsons poursuit son exploration de l’œuvre de Richard Strauss avec le Boston Symphony Orchestra, qu’il dirige dans Till l’Espiègle, la fantaisie symphonique extraite de La Femme sans ombre et Une symphonie alpestre.

Andris Nelsons prend la tête du Gewandhausorchester Leipzig pour un concert qui prend les poèmes symphoniques de Strauss pour fil conducteur, avec Don Juan et Ainsi parlait Zarathoustra. Rudolf Buchbinder les rejoint dans la rafraîchissante Burlesque.

Andris Nelsons prend la tête du Gewandhausorchester Leipzig pour un second concert qui prend les poèmes symphoniques de Strauss pour fil conducteur, avec Macbeth, la suite de valses du Chevalier à la rose et Une vie de héros.

Explorant avec ferveur le champ de la musique classique, l’Orchestre Symphonique Kimbanguiste de Kinshasa – seule formation de ce genre en Afrique subsaharienne – s’associe avec le Chœur de l’Orchestre de Paris pour un concert de grande amplitude.

Sir Simon Rattle, l’un des plus emblématiques chefs britanniques, dirige le London Symphony Orchestra dans un programme qui tisse des passerelles entre le romantisme de Brahms et de Wagner et la modernité de Ligeti ou Betsy Jolas.
Week-ends thématiques


La voix



Ouvrage maintes fois remis sur le métier et emblématique de l’art du Haendel « italien », Il Trionfo del Tempo e del Disinganno convoque de flamboyantes mélodies pour dépeindre le combat de l’austérité et du plaisir. En arbitre ? Rien moins que la Beauté.

Tempête, fièvre amoureuse, vociférations des Parques ; à sa création, Hippolyte et Aricie suscita autant d’émoi que d’épouvante. C’est à Simon Rattle que revient aujourd’hui de célébrer des pages dont l’audace anticipe sur des siècles de musique à venir.

Monter le cycle Licht de Stockhausen dans son intégralité n’a jamais été fait dans le cadre d’une même production. C’est le pari fou que relève l’Ensemble Le Balcon depuis trois ans. Après Samstag (Samedi) et Dienstag (Mardi), voici les deux premiers actes de Donnerstag (Jeudi) !

Partition-phare du répertoire liturgique, le Stabat Mater de Pergolèse hésite entre sommets de spiritualité et confidence profane. Qui, mieux que Cecilia Bartoli, pourrait en magnifier la subtilité ?

Subtil assortiment d’airs d’opéras, de romances et de lieder pour ce récital exceptionnel de Juan Diego Flórez, célébré sur toutes les grandes scènes du monde et bénéficiant, en Vincenzo Scalera, d’un accompagnateur hors-pair.


Les Arts Florissants achèvent leur exploration de l’œuvre de Gesualdo, relativement réduite en quantité mais d’une grande importance dans l’évolution musicale de son époque, avec le Sixième Livre de madrigaux.

En couple sur scène comme à la ville, unis par une belle complicité, Roberto Alagna et Aleksandra Kurzak interprètent de grands airs et duos de l’opéra italien, de Bellini à Mascagni en passant par Puccini et Verdi.

Avec La Fiancée du tsar de Rimski-Korsakov, Tugan Sokhiev et l’Orchestre national du Bolchoï poursuivent la tradition qu’ils ont mise en place voici quelques années : faire venir l’opéra russe au public de la Philharmonie.

Quatre ans après leur tournée triomphale avec l’Italienisches Liederbuch de Wolf – dont une étape parisienne que la Philharmonie n’est pas près d’oublier –, Diana Damrau et Jonas Kaufmann se retrouvent chez Schumann et Brahms.

Vingt-cinq années après l’enregistrement qui a révélé aux mélomanes l’oratorio de Caldara Madeleine aux pieds du Christ, René Jacobs revient à l’œuvre, cette fois accompagné du Freiburger Barockorchester.

En juin 2018, Patricia Petibon et La Cetra dirigée par Andrea Marcon se donnaient rendez-vous à la Philharmonie pour quelques « airs d’amour » signés Gluck et Mozart. Triomphe ! Les revoici en clair-obscur, rejoints par Haendel et Rameau.

Après leur concert de la veille, consacré au Bach de l’époque d’Arnstadt et de Mühlhausen, Les Arts Florissants et Paul Agnew donnent une intégrale des Madrigaux italiens de Schütz, un compositeur plutôt rare chez eux.
Jazz et musiques du monde






Ambassadeur de la musique brésilienne, entré en activité dans les années 1960, Gilberto Gil continue sans relâche de propager ses bonnes vibrations. Il vient ici à la rencontre du public français en compagnie de ses fils Bem Gil et João Gil, ainsi que de sa petite-fille Flor Gil.

Toujours aussi énergique et inspiré, Chucho Valdés présente La Creación, une œuvre épique qui retrace l’apparition de la culture yoruba aux Caraïbes. Flamboyant et vibrant, cet oratorio afro-cubain est précédé par un concert solo de Valdés au piano.

À l’occasion du week-end célébrant le 80e anniversaire de Chucho Valdés, l’illustre pianiste cubain réunit autour de lui trois amis proches, superbes solistes : le clarinettiste et saxophoniste Paquito D’Rivera, le saxophoniste Joe Lovano et la violoniste Yilian Cañizares.

À l’approche du 24 décembre, l’iconoclaste pianiste et chanteur canadien Chilly Gonzales transpose sur scène A Very Chilly Christmas, savoureux album dans lequel il se réapproprie joliment le répertoire de Noël, entre airs classiques et chansons pop.

Réputé pour ses jubilatoires adaptations de classiques enfantins, l’intrépide ensemble jazz The Amazing Keystone Big Band transforme Alice au pays des merveilles en un conte musical exubérant, drôle et haletant, apte à séduire un public de tous âges.

Grand maître contemporain de la musique classique indienne, Bahauddin Dagar joue superbement de la rudra vina, sorte de cithare sur tube. Le Musée de la musique en expose sur scène trois exemplaires, issus de sa collection, à l’occasion de ce concert.

Impossible d’évoquer la musique portugaise sans parler du fado, cette musique populaire qui évoque la saudade, les nostalgies et élans divers sur un accompagnement de cordes pincées, en général celui d’une guitare portugaise ou violão.

Emblématique du Portugal, le fado s’incarne ici à travers deux grandes figures actuelles : la chanteuse Carminho, au style éclectique influencé notamment par la musique brésilienne, et le chanteur Camané, aussi respectueux de la tradition que novateur.


À la tête de leur formation respective, deux grands musiciens argentins – le pianiste Gerardo Jerez Le Cam et le bandonéoniste Juan José Mosalini – célèbrent Astor Piazzolla, immortel maestro du tango nuevo, au cours d’un concert en deux parties.

Le Quinteto Astor Piazzolla s’attache depuis plus de vingt ans à faire vivre le répertoire du mythique musicien argentin. En première partie, la jeune bandonéoniste Louise Jallu se lance dans une aventure inédite pour invoquer l’esprit et la musique d’Astor Piazzolla.

Les concerts-promenades permettent à des musiciens, conteurs ou danseurs d'investir le Musée en proposant concerts, performances, ateliers... Le musée se fait ainsi lieu de musiques et d'art vivant, d'où naissent la rencontre et la découverte.

Éminent ensemble de jazz américain, passé maître dans l’art de revisiter les répertoires les plus fastueux, le SFJAZZ Collective présente de nouvelles compositions inspirées par les problèmes sociaux qui ont secoué la planète au cours de cette dernière année.
10e édition
Biennale de quatuors à cordes
Du 12 au 23 janvier 2022

10e édition
Du 12 au 23 janvier 2022


C’est naturellement au Quatuor Arditti qu’il revient d’ouvrir l’intégrale des quatuors de Philippe Manoury, dont la Biennale fête les 70 ans. Formation contemporaine par excellence, le Quatuor Arditti a créé ses premier et troisième quatuors.

L’Orchestre National d’Auvergne propose, arrangés pour orchestre de chambre, deux quatuors hantés par la mort de Schubert et Chostakovitch, ainsi qu’une création de la compositrice Violeta Cruz, colombienne et parisienne d’adoption.

Dans le cadre de la Biennale de quatuors à cordes, la Philharmonie de Paris organise une journée d’audition de quatuors à cordes. Ouverte au public, elle est composée de moments musicaux suivis de discussions avec les professionnels invités.

Ce sont deux Schubert aux antipodes l’un de l’autre que nous présentent ici le Quatuor Modigliani, le pianiste Frank Braley et le contrebassiste Yann Dubost : l’un solaire, pastoral et épicurien, l’autre crépusculaire et mélancolique.

Grand Prix du Concours de Bordeaux 2019, Rising Stars du réseau ECHO des grandes salles européennes, les Simply lèvent le voile sur une œuvre imaginée pour eux par l’Autrichienne Julia Lacherstorfer. Mais pas seulement.

Trente ans déjà que le Quatuor Danel, disciple des Amadeus, Borodine et Beethoven, foule les scènes du monde entier. Cerise sur le gâteau, les amis Andsnes, Hagen et Moraguès souffleront les bougies avec eux dans trois quintettes variés.

Au terme d’un « Américain » de rêve, le Quatuor de Jérusalem retrouve Gary Hoffman pour un remake de leur gravure du Sextuor de Dvořák chez Harmonia Mundi. En terrain connu lui aussi, Miguel Da Silva les accompagne dans leur périple.

Si l’on reconnaît aujourd’hui à Béla Bartók la paternité de ce qui est désormais une discipline à part entière, l’ethnomusicologie, il y avait toutefois en Antonín Dvořák un précurseur et un modèle, aussi ambivalent soit-il.

Si l’équipe actuelle n’a forcément plus rien de commun avec celle de 1944, l’ADN du Quatuor Borodine reste marqué par Chostakovitch. Dmitri Masleev rejoint ses compatriotes en deuxième partie de soirée pour donner un coup de jeune à Dvořák.

Un mélomane averti en vaut deux : le Quatuor David Oïstrakh joue un Chostakovitch particulièrement âpre, qui ne laisse personne indifférent. Entre deux électrochocs, les compères devraient aussi donner une nouvelle ampleur au Cinquième de Dvořák.

Avec Haydn et Mendelssohn, le Cuarteto Casals se taille un programme fait pour sa brillante finesse. Au milieu, le charme mélodique d’un Dvořák naïvement sentimental vous transportera dans un monde de poésie délicate.

Le criquet imaginé par Miler, père d’une fameuse petite taupe, est un insecte plein d’humour et violoniste. Ses aventures sont illustrées parla musique de Dvořák et Janáček, jouée en direct par le Quatuor Mona.

Quarante ans de carrière, et pas une ride ! Avec le raffinement qui fait sa marque, le Quatuor Hagen chantera un Mozart idéal avant d’accentuer l’intensité de l’un des plus parfaits quatuors de Dvořák, star de cette Biennale.

Le criquet imaginé par Miler, père d’une fameuse petite taupe, est un insecte plein d’humour et violoniste. Ses aventures sont illustrées parla musique de Dvořák et Janáček, jouée en direct par le Quatuor Mona.

Effectif unique en son genre, le quatuor porte en lui tout un univers, et chaque formation a son identité propre. En réunir deux est un exercice délicat : bien rares sont ceux à s’y être risqués. Mendelssohn et Enesco ont relevé le défi avec brio.
Ouvert tous les jours
La Philharmonie des enfants

Ouvert tous les jours

Hip-Hop 360


Révolutions Xenakis




Pendant sept ans, Sebastião Salgado a sillonné l’Amazonie brésilienne, photographiant la forêt, les fleuves, les montagnes, les peuples qui y vivent. Cet univers profond, où l’immense pouvoir de la nature est ressenti comme dans peu d’endroits sur la planète, a imprimé dans l’œil du photographe des images saisissantes, la plupart dévoilées pour la première fois au public.
Le Musée de la musique de la Philharmonie de Paris possède une vaste collection d'instruments et d'œuvres d'art et propose 3 expositions chaque saison.
Pour accompagner les enfants qui font leurs premiers pas dans la musique, les ateliers développent la créativité, la curiosité, l’écoute et préparent à de futurs apprentissages. Une véritable séance de partage à vivre avec ou sans parents, dans la sensibilisation à la créativité collective.
Qu’elle soit classique, traditionnelle ou actuelle, la pratique musicale à la Philharmonie se décline en un vaste panel d’ateliers en cycles ou séances de découverte, tant en semaine que le week-end.
Rencontres, débats, conférences ou colloques sont l’occasion de partager avec les artistes ou des spécialistes des moments conviviaux et enrichissants, sur tous les genres musicaux.
Découvrez nos différentes formules d’abonnement et réductions pour profiter au mieux de notre programmation.
Si vous êtes déjà abonné à la première partie de la saison 2021-22 (concerts de septembre à décembre), vous pouvez réserver les concerts de votre choix directement via l’agenda en cliquant sur « réserver en tant qu’abonné ».