Récital piano
•
Salle des concerts - Cité de la musique
•
Durée : environ
2h04
dont 1 entracte
Programme
Franz Schubert
Sonate D 575
Johannes Brahms
7 Fantaisies op.116
Entracte
Sergueï Prokofiev
Sarkasmes op.17
Robert Schumann
Etudes Symphoniques, op 13
Distribution
Elisabeth Leonskaja, piano
Afin de préparer votre venue et de faciliter les contrôles liés au plan Vigipirate renforcé à la Philharmonie de Paris, nous vous remercions de vous présenter aux entrées en avance.
Née en 1945 à Tbilissi, Elisabeth Leonskaja a été proche de Sviatoslav Richter, avec qui elle a notamment enregistré les sonates de Mozart transcrites par Grieg. Elle a quitté l’Union soviétique en 1978 pour s’installer à Vienne.
Au sein de la prestigieuse phalange de virtuoses de l’ex-Union Soviétique, Elisabeth Leonskaya, née au lendemain de la Seconde Guerre mondiale à Tbilissi, en Géorgie, tient une place à part. Discrète, se confiant peu aux médias, elle incarne le clavier dans ce qu’il a de plus noble et ardent une forme de pureté artistique qui lui vaut de nombreux admirateurs. L’immense Sviatoslav Richter comptait au nombre de ceux-ci et en avait fait une de ses partenaires privilégiées. Elle se confronte lors de ce concert au Schubert le plus secret – la Sonate D. 568 fait songer à sa célèbre “Arpeggionne” – et à une sonate de Prokofiev dont la noirceur se tempère d’un final éblouissant. Les Fantaisie op. 116 de Brahms apportent une conclusion méditative – non dénuée d’accents passionnés – qui ne pouvait que séduire cette authentique musicienne.
Née en 1945 à Tbilissi, Elisabeth Leonskaja a été proche de Sviatoslav Richter, avec qui elle a notamment enregistré les sonates de Mozart transcrites par Grieg. Elle a quitté l’Union soviétique en 1978 pour s’installer à Vienne.
Au sein de la prestigieuse phalange de virtuoses de l’ex-Union Soviétique, Elisabeth Leonskaya, née au lendemain de la Seconde Guerre mondiale à Tbilissi, en Géorgie, tient une place à part. Discrète, se confiant peu aux médias, elle incarne le clavier dans ce qu’il a de plus noble et ardent une forme de pureté artistique qui lui vaut de nombreux admirateurs. L’immense Sviatoslav Richter comptait au nombre de ceux-ci et en avait fait une de ses partenaires privilégiées. Elle se confronte lors de ce concert au Schubert le plus secret – la Sonate D. 568 fait songer à sa célèbre “Arpeggionne” – et à une sonate de Prokofiev dont la noirceur se tempère d’un final éblouissant. Les Fantaisie op. 116 de Brahms apportent une conclusion méditative – non dénuée d’accents passionnés – qui ne pouvait que séduire cette authentique musicienne.
Production Piano ****
Salle des concerts - Cité de la musique
Découvrir la salleComment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris