Concert symphonique
•
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
•
Durée : environ
1h50
dont 1 entracte
Programme
Distribution
Samuel Barber
Toccata festiva, pour orgue et orchestre
Maurice Ravel
Concerto en sol
Entracte
Gaspard de la nuit
George Gershwin
Un Américain à Paris
Georges Bizet
Intermezzo de Carmen
BIS
Felix Slatkin
Carmen's Hoedown
BIS
Orchestre National de Lyon
Leonard Slatkin
, direction
Stefano Bollani
, piano
Vincent Warnier
, orgue
George Gershwin vouait une grande admiration à son contemporain Maurice Ravel, sentiment qui devint réciproque après que le compositeur français assista à une représentation du premier aux États-Unis. Le chef américain Leonard Slatkin et son Orchestre National de Lyon, avec au piano Stefano Bollani, rendent hommage à cette amitié le temps d’une soirée.
Divertissement : c’est ainsi que s’intitulait à l’origine le Concerto en sol de Ravel, œuvre de pur plaisir, dont quelques traits jazzy égaient les mouvements extrêmes. Quant au bouleversant adagio, il prend la forme d’une très longue mélodie telle que les affectionnait le compositeur français. Ombre plus inquiétante, Gaspard de la Nuit (donné ici dans l’orchestration réalisée en 1990 par Marius Constant) côtoie les contrées du merveilleux, du macabre et de l’épouvante. George Gershwin, autodidacte toujours désireux d’améliorer sa technique, avait voulu prendre des leçons avec Ravel, qui lui conseilla sagement de rester lui-même. La joie sans mélange et l’énergie affriolante d’Un Américain à Paris et de la Rhapsody in Blue en font les classiques par excellence de la musique américaine.
Divertissement : c’est ainsi que s’intitulait à l’origine le Concerto en sol de Ravel, œuvre de pur plaisir, dont quelques traits jazzy égaient les mouvements extrêmes. Quant au bouleversant adagio, il prend la forme d’une très longue mélodie telle que les affectionnait le compositeur français. Ombre plus inquiétante, Gaspard de la Nuit (donné ici dans l’orchestration réalisée en 1990 par Marius Constant) côtoie les contrées du merveilleux, du macabre et de l’épouvante. George Gershwin, autodidacte toujours désireux d’améliorer sa technique, avait voulu prendre des leçons avec Ravel, qui lui conseilla sagement de rester lui-même. La joie sans mélange et l’énergie affriolante d’Un Américain à Paris et de la Rhapsody in Blue en font les classiques par excellence de la musique américaine.
Coproduction Orchestre national de Lyon, Philharmonie de Paris
En partenariat avec
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Découvrir la salleComment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris