Concert symphonique
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Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
•
Durée : environ
1h50
dont 1 entracte
Programme
Distribution
Franz Schubert
Ouverture de Rosamunde
Darius Milhaud
La Bien-aimée
Entracte
Igor Stravinski
Le Sacre du printemps
Orchestre National d'Île-de-France
Enrique Mazzola
, direction
Rex Lawson
, pianola
Un chef d’œuvre du XXe siècle et une redécouverte. Un événement à ne pas manquer !
En 1913, un séisme se produit à Paris : la création du Sacre du printemps suscite un scandale mémorable, à la hauteur de la modernité de ce ballet que Stravinski avait voulu comme un hymne au paganisme, au primitivisme et aux forces obscures de l’âme humaine. Il n’y a pas d’histoire dans ce ballet chorégraphié par Nijinski, juste deux tableaux : l’adoration de la Terre et le sacrifice d’une adolescente sous les yeux de la communauté réunie en transe. La musique est l’une des plus incroyables jamais écrites : puissante, rythmée, éclatante, virtuose, enchevêtrée, elle vous emporte dans un tourbillon de force vitale. En comparaison, La Bien-Aimée de Darius Milhaud est bien sage. Il s’agit d’un ballet en un acte pour pianola (piano mécanique) et orchestre écrit en 1928, collant des musiques de Schubert et de Liszt. Cette partition, non éditée, non enregistrée, tombée dans un oubli total, va revivre sous la baguette d’Enrique Mazzola.
En 1913, un séisme se produit à Paris : la création du Sacre du printemps suscite un scandale mémorable, à la hauteur de la modernité de ce ballet que Stravinski avait voulu comme un hymne au paganisme, au primitivisme et aux forces obscures de l’âme humaine. Il n’y a pas d’histoire dans ce ballet chorégraphié par Nijinski, juste deux tableaux : l’adoration de la Terre et le sacrifice d’une adolescente sous les yeux de la communauté réunie en transe. La musique est l’une des plus incroyables jamais écrites : puissante, rythmée, éclatante, virtuose, enchevêtrée, elle vous emporte dans un tourbillon de force vitale. En comparaison, La Bien-Aimée de Darius Milhaud est bien sage. Il s’agit d’un ballet en un acte pour pianola (piano mécanique) et orchestre écrit en 1928, collant des musiques de Schubert et de Liszt. Cette partition, non éditée, non enregistrée, tombée dans un oubli total, va revivre sous la baguette d’Enrique Mazzola.
Production Orchestre national d’Île-de-France

Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Découvrir la salleComment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris