Concert symphonique
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Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
•
Durée : environ
1h10
Programme
Piotr Ilitch Tchaïkovski
Nocturne op. 19 n°4 pour violoncelle et orchestre à cordes
Max Bruch
Kol Nidrei (Adagio sur deux mélodies hébraïques) op. 47
Piotr Ilitch Tchaïkovski
Variations sur un thème Rococo pour violoncelle et orchestre
Fitzenhagen version
Richard Strauss
Métamorphoses
Distribution
Orchestre National de Lille
Alexandre Bloch, direction
Mischa Maisky, violoncelle
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Le programme de ce concert a été modifié.
Le lyrisme généreux du violoncelle de Mischa Maisky trouve dans Kol Nidrei de Bruch et les Variations Rococo de Tchaïkovski un matériau à sa mesure. Composant un autre univers, les Métamorphoses de Strauss fascinent par leurs ramifications secrètes.
Écrit à Berlin en 1880, Kol Nidrei de Max Bruch repose sur deux mélodies juives, dont la première remonte probablement au début du XVIe siècle. La ferveur mystique de son inspiration, l’intensité de son chant en font une des belles pièces du répertoire pour violoncelle et orchestre. Le lyrisme, certes plus dense, plus sombre, innerve également les Métamorphoses pour cordes de Strauss, commencées en 1944. Dans les ultimes mesures de cette partition envoûtante, passe l’ombre de Beethoven – la Marche funèbre de la Symphonie « Héroïque ». À l’opposé de cette atmosphère crépusculaire, les Variations Rococo de Tchaïkovski font office de brillant divertissement. Hommage au classicisme, elles portent l’empreinte de l’amour du compositeur russe pour Mozart, qu’il appelait « le Christ de la musique ».
Le programme de ce concert a été modifié.
Le lyrisme généreux du violoncelle de Mischa Maisky trouve dans Kol Nidrei de Bruch et les Variations Rococo de Tchaïkovski un matériau à sa mesure. Composant un autre univers, les Métamorphoses de Strauss fascinent par leurs ramifications secrètes.
Écrit à Berlin en 1880, Kol Nidrei de Max Bruch repose sur deux mélodies juives, dont la première remonte probablement au début du XVIe siècle. La ferveur mystique de son inspiration, l’intensité de son chant en font une des belles pièces du répertoire pour violoncelle et orchestre. Le lyrisme, certes plus dense, plus sombre, innerve également les Métamorphoses pour cordes de Strauss, commencées en 1944. Dans les ultimes mesures de cette partition envoûtante, passe l’ombre de Beethoven – la Marche funèbre de la Symphonie « Héroïque ». À l’opposé de cette atmosphère crépusculaire, les Variations Rococo de Tchaïkovski font office de brillant divertissement. Hommage au classicisme, elles portent l’empreinte de l’amour du compositeur russe pour Mozart, qu’il appelait « le Christ de la musique ».
Coproduction Orchestre National de Lille, Philharmonie de Paris
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Découvrir la salleComment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris