Concert vocal
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Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
•
Durée : environ
2h30
dont 1 entracte
Programme
Wolfgang Amadeus Mozart
Adagio et rondeau pour glassharmonica, flûte, hautbois, alto et violoncelle en do mineur K617
La Flûte enchantée
Air de Pamina : "Ach ich fühl's, es ist verschwunden !"
K620
Concerto pour clarinette et orchestre en la majeur K 622
Entracte
La Clémence de Titus K 621
Ouverture
Requiem K 626 en ré mineur
Edition Breitkopf
Distribution
Les Musiciens du Louvre
Chœur du Palau de la Musica Catalana
Marc Minkowski, direction
Chiara Skerath, soprano
Helena Rasker, mezzo-soprano
Yann Beuron, ténor
Yorck Felix Speer, basse
Nicolas Baldeyrou, clarinette
Thomas Bloch, glassharmonica
Marc Minkowski a construit une soirée dédiée aux dernières heures de Mozart en convoquant, autour du Requiem, des
extraits de ses dernières œuvres.
Le Requiem de Mozart, c’est l’œuvre inachevée par excellence. Son inachèvement est même à l’origine de toute une série de fantasmes, véhiculés par diverses œuvres de fiction plus ou moins fantaisistes. Si on ne sait pas avec certitude à quel degré d’inachèvement Mozart laisse la partition – le débat demeure controversé parmi les spécialistes –, il est toutefois possible, voire probable, que le maître en ait déjà tracé les grandes lignes. Mélodies, enchaînements harmoniques et formules d’accompagnement sont souvent explicités, du moins suggérés – le premier mouvement est même intégralement terminé, d’autres sont déjà bien entamés, parfois plus qu’à moitié. Après la mort de son mari, Constance confie la fin du travail à Franz Xaver Süssmayr (1766-1803). Malgré son style personnel, notoirement non-mozartien, Süssmayr est un ami proche de Mozart. Il a déjà travaillé avec lui, notamment en tant que copiste sur ses derniers opéras et connait bien son écriture et ses idiotismes musicaux. Pour mieux nous plonger dans les dernières heures de vie de Mozart, passées à travailler à son monumental Requiem, Marc Minkowski et les Musiciens du Louvre recréent pour nous cet atelier dont Süssmayr a dû s’inspirer. Un atelier de compositeur qui résonne encore des airs de La Clémence de Titus et La Flûte enchantée…
extraits de ses dernières œuvres.
Le Requiem de Mozart, c’est l’œuvre inachevée par excellence. Son inachèvement est même à l’origine de toute une série de fantasmes, véhiculés par diverses œuvres de fiction plus ou moins fantaisistes. Si on ne sait pas avec certitude à quel degré d’inachèvement Mozart laisse la partition – le débat demeure controversé parmi les spécialistes –, il est toutefois possible, voire probable, que le maître en ait déjà tracé les grandes lignes. Mélodies, enchaînements harmoniques et formules d’accompagnement sont souvent explicités, du moins suggérés – le premier mouvement est même intégralement terminé, d’autres sont déjà bien entamés, parfois plus qu’à moitié. Après la mort de son mari, Constance confie la fin du travail à Franz Xaver Süssmayr (1766-1803). Malgré son style personnel, notoirement non-mozartien, Süssmayr est un ami proche de Mozart. Il a déjà travaillé avec lui, notamment en tant que copiste sur ses derniers opéras et connait bien son écriture et ses idiotismes musicaux. Pour mieux nous plonger dans les dernières heures de vie de Mozart, passées à travailler à son monumental Requiem, Marc Minkowski et les Musiciens du Louvre recréent pour nous cet atelier dont Süssmayr a dû s’inspirer. Un atelier de compositeur qui résonne encore des airs de La Clémence de Titus et La Flûte enchantée…
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Découvrir la salleComment venir
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3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris