Concert
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Salle des concerts - Cité de la musique
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Durée : environ
1h50
Distribution
Ibrahim Maalouf, trompette
Eric Legnini, claviers
François Delporte, guitare
Stéphane Galland, batterie
Afin de préparer votre venue et de faciliter les contrôles liés au plan Vigipirate renforcé à la Philharmonie de Paris, nous vous remercions de vous présenter aux entrées en avance.
Pour les quarante ans de la disparition de la diva égyptienne Oum Kalthoum, Ibrahim Maalouf rend hommage à celle qui fut la plus grande représentante à travers le monde du “tarab”, pratique musicale chère à la tradition orale arabe. Avec des compositions volontairement ancrées dans leur temps, cet hommage met en valeur cette spiritualité commune entre le “tarab” et les musiques électroniques tant appréciées par la jeunesse occidentale, qu’on appelle la transe.
"En Orient, une journée sans Oum Kalthoum n’aurait plus de couleur". La célèbre phrase d’Omar Sharif montre aisément l’importance et l’aura de la diva égyptienne, que certains baptisèrent la Quatrième Pyramide et qui s’éteignit le 3 février 1975 au Caire. Pour le 40e anniversaire de sa disparition, Ibrahim Maalouf lui rend hommage de manière originale. Le trompettiste célèbre le tarab, pratique musicale chère à la tradition orale arabe. Une émotion ample. Comme une communion des sens entre interprète et spectateur… Avec son autre projet baptisé Red & Black Light, il signe une ode à la femme d’aujourd’hui et "à son rôle fondateur et fondamental pour espérer un avenir meilleur". Axée sur une esthétique électro, voire pop, cette aventure musicale qui célèbre elle aussi "la femme" se déroulera avec Eric Legnini aux claviers, François Delporte à la guitare et Stéphane Galland à la batterie. À l’arrivée, deux projets originaux pour souligner un peu plus l’éclectisme et le talent d’Ibrahim Maalouf.
Pour les quarante ans de la disparition de la diva égyptienne Oum Kalthoum, Ibrahim Maalouf rend hommage à celle qui fut la plus grande représentante à travers le monde du “tarab”, pratique musicale chère à la tradition orale arabe. Avec des compositions volontairement ancrées dans leur temps, cet hommage met en valeur cette spiritualité commune entre le “tarab” et les musiques électroniques tant appréciées par la jeunesse occidentale, qu’on appelle la transe.
"En Orient, une journée sans Oum Kalthoum n’aurait plus de couleur". La célèbre phrase d’Omar Sharif montre aisément l’importance et l’aura de la diva égyptienne, que certains baptisèrent la Quatrième Pyramide et qui s’éteignit le 3 février 1975 au Caire. Pour le 40e anniversaire de sa disparition, Ibrahim Maalouf lui rend hommage de manière originale. Le trompettiste célèbre le tarab, pratique musicale chère à la tradition orale arabe. Une émotion ample. Comme une communion des sens entre interprète et spectateur… Avec son autre projet baptisé Red & Black Light, il signe une ode à la femme d’aujourd’hui et "à son rôle fondateur et fondamental pour espérer un avenir meilleur". Axée sur une esthétique électro, voire pop, cette aventure musicale qui célèbre elle aussi "la femme" se déroulera avec Eric Legnini aux claviers, François Delporte à la guitare et Stéphane Galland à la batterie. À l’arrivée, deux projets originaux pour souligner un peu plus l’éclectisme et le talent d’Ibrahim Maalouf.
Salle des concerts - Cité de la musique
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Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris