Concert
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Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
•
Durée : environ
2h00
Distribution
Ludovico Einaudi, piano
Federico Mecozzi, violon, guitare, clavier
Redi Hasa, violoncelle
Alberto Fabris, basse, synthétiseur, électroniques
Francesco Arcuri, guitare, percussions, waterphone
Riccardo Laganà, percussions, vibraphone, frame drum
Afin de préparer votre venue et de faciliter les contrôles liés au plan Vigipirate renforcé à la Philharmonie de Paris, nous vous remercions de vous présenter aux entrées en avance.
Les compositions minimalistes et chatoyantes de Ludovico Einaudi ont fait le tour du monde et séduit le cinéma.
Minimaliste et immédiate, l’œuvre de Ludovico Einaudi se révèle palpitante au possible. Et pour cause : elle émeut autant qu’elle captive. Ce n’est donc pas un hasard si la musique de ce pianiste-compositeur fascine les cinéastes du monde entier. Depuis Nanni Moretti (en 1998 pour Aprile) jusqu’à Xavier Dolan (dans Mommy l’an dernier), en passant par le carton français Intouchables ou le Black Swan de Darren Aronofsky, ses petites épopées mélodiques n’ont pas leur pareille pour suggérer une foule d’émotions, de la plus mélancolique à la plus exaltée. Quelque part entre Arvo Pärt, Brian Eno, Erik Satie et Steve Reich, l’Italien fait partie des défenseurs du “less is more” : point besoin de grandes lampées de notes pour créer l’ivresse sonore.
Les compositions minimalistes et chatoyantes de Ludovico Einaudi ont fait le tour du monde et séduit le cinéma.
Minimaliste et immédiate, l’œuvre de Ludovico Einaudi se révèle palpitante au possible. Et pour cause : elle émeut autant qu’elle captive. Ce n’est donc pas un hasard si la musique de ce pianiste-compositeur fascine les cinéastes du monde entier. Depuis Nanni Moretti (en 1998 pour Aprile) jusqu’à Xavier Dolan (dans Mommy l’an dernier), en passant par le carton français Intouchables ou le Black Swan de Darren Aronofsky, ses petites épopées mélodiques n’ont pas leur pareille pour suggérer une foule d’émotions, de la plus mélancolique à la plus exaltée. Quelque part entre Arvo Pärt, Brian Eno, Erik Satie et Steve Reich, l’Italien fait partie des défenseurs du “less is more” : point besoin de grandes lampées de notes pour créer l’ivresse sonore.
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Découvrir la salleComment venir
Porte de Pantin
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3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris