Concert
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Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
•
Durée : environ
1h50
Programme
Bob Marley
Running Away
Blue Mitchell
Funji Mama
Augustus Pablo
King Tubbys meets the Rocker Uptown
Musique traditionnelle jamaïcaine
Linstead Market & Day-o
Ahmad Jamal
Night myst Blues
Monty Alexander
Hurricane come and gone
Coxsone Dodd
Ball of Fire
Monty Alexander
Renewal
Thelonious Monk
Well you needn't
Vincent Ford
No woman no cry
Stewie Wonder
Higher ground
Monty Alexander
Monty's groove
Robert Spencer
My boy lollipop
Distribution
Monty Alexander, piano
Andy Bassford, guitare
Hassan Shakur, contrebasse
Leon Duncan, basse
Wayne Escoffery, saxophone ténor
Andrae Murchison, trombone
Jason Brown, batterie
Karl Wright, batterie
Ce concert est diffusé en direct sur le site live.philharmoniedeparis.fr où il restera disponible pendant six mois.
En cinquante ans de carrière, Monty Alexander, véritable ambassadeur musical de la Jamaïque, a joué avec les plus grands. De Dizzy Gillespie à Ernest Ranglin, tous ont fait appel à son sens de l’improvisation exceptionnel. À la tête d’un groupe où se mélangent musiciens américains et jamaïcains, il nous présente deux facettes de son héritage musical : le jazz afro-américain de Harlem et le reggae de Kingston.
Harlem ou Kingston ? Kingston ou Harlem ? Aucune raison de trancher pour Monty Alexander puisque la capitale jamaïcaine est sa ville natale, et la Mecque du jazz, sa terre d’adoption. Depuis un demi-siècle, le grand pianiste au swing imparable tisse les liens et entretient les passerelles entre jazz et effluves caribéennes. Un style unique qui a charmé les plus grands jazzmen avec lesquels il a travaillé (Dizzy Gillespie, Milt Jackson, Benny Golson) mais aussi certains de ses augustes compatriotes (Ernest Ranglin, Sly & Robbie). En 2011, Monty Alexander publiait un live Harlem-Kingston Express suivi, trois ans plus tard, par un second volume, The River Rolls On. Deux témoignages accomplis de ce double héritage qu’il a réalisé avec des musiciens américains et jamaïcains. C’est avec ce groupe qu’il célèbre à la Philharmonie de Paris ce jazz afro-américain de Harlem et le reggae de Kingston.
En cinquante ans de carrière, Monty Alexander, véritable ambassadeur musical de la Jamaïque, a joué avec les plus grands. De Dizzy Gillespie à Ernest Ranglin, tous ont fait appel à son sens de l’improvisation exceptionnel. À la tête d’un groupe où se mélangent musiciens américains et jamaïcains, il nous présente deux facettes de son héritage musical : le jazz afro-américain de Harlem et le reggae de Kingston.
Harlem ou Kingston ? Kingston ou Harlem ? Aucune raison de trancher pour Monty Alexander puisque la capitale jamaïcaine est sa ville natale, et la Mecque du jazz, sa terre d’adoption. Depuis un demi-siècle, le grand pianiste au swing imparable tisse les liens et entretient les passerelles entre jazz et effluves caribéennes. Un style unique qui a charmé les plus grands jazzmen avec lesquels il a travaillé (Dizzy Gillespie, Milt Jackson, Benny Golson) mais aussi certains de ses augustes compatriotes (Ernest Ranglin, Sly & Robbie). En 2011, Monty Alexander publiait un live Harlem-Kingston Express suivi, trois ans plus tard, par un second volume, The River Rolls On. Deux témoignages accomplis de ce double héritage qu’il a réalisé avec des musiciens américains et jamaïcains. C’est avec ce groupe qu’il célèbre à la Philharmonie de Paris ce jazz afro-américain de Harlem et le reggae de Kingston.
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Découvrir la salleComment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris