Concert
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Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
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Durée : environ
1h50
dont 1 entracte
Programme
Arnold Schönberg
Symphonie de chambre n° 1
Anton Webern
Drei Orchesterlieder, op. posthume
Deux Lieder, op. 8, pour soprano et ensemble
Cinq Lieder spirituels, op. 15, pour soprano et ensemble
Concerto op. 24, pour 9 instruments
Trois Lieder, op. 18, pour soprano, clarinette et guitare
Trois Textes populaires, op. 17, pour voix, violon, clarinette
Cinq Pièces op. 10
Entracte
Pierre Boulez
Sur Incises, pour trois pianos, trois harpes et trois percussions/claviers
Distribution
Ensemble intercontemporain
Matthias Pintscher, direction
Yeree Suh, soprano
Ce concert est diffusé en direct sur le site live.philharmoniedeparis.fr où il restera disponible pendant six mois
Pierre Boulez a toujours pensé les programmes de ses concerts en inscrivant les oeuvres récentes dans une tradition de la modernité qui remonte à la seconde école de Vienne. Pour cet hommage au compositeur disparu en janvier 2016, ce sont ses moments favoris chez Schönberg et Webern qui introduisent sur Incises, une partition de 1998 dans laquelle, comme il aimait à le faire, il commente ses Incises pour piano de 1994.
Pierre Boulez n’était pas homme à rester immobile et à s’endormir sur ses lauriers. Tous ceux qui l’ont croisé peuvent en témoigner : il allait toujours de l’avant. À présent orphelin de son fondateur, l’Ensemble intercontemporain saura lui aussi tourner inlassablement ses regards vers l’avenir — tout en replaçant son action dans une perspective historique, comme Boulez lui-même aimait à le faire. C’est cette perspective qu’il brosse ici, en montrant les racines musicales les plus profondes du maître : des racines qui remontent à la deuxième école de Vienne, qu’il a dirigé à maintes reprises et dont il a enregistré des versions de référence. Il était ainsi tout particulièrement à l’aise dans la concision précise et kaléidoscopique d’Anton Webern, mais savait tout aussi bien sublimer l’expressionnisme d’Arnold Schönberg…
Pierre Boulez a toujours pensé les programmes de ses concerts en inscrivant les oeuvres récentes dans une tradition de la modernité qui remonte à la seconde école de Vienne. Pour cet hommage au compositeur disparu en janvier 2016, ce sont ses moments favoris chez Schönberg et Webern qui introduisent sur Incises, une partition de 1998 dans laquelle, comme il aimait à le faire, il commente ses Incises pour piano de 1994.
Pierre Boulez n’était pas homme à rester immobile et à s’endormir sur ses lauriers. Tous ceux qui l’ont croisé peuvent en témoigner : il allait toujours de l’avant. À présent orphelin de son fondateur, l’Ensemble intercontemporain saura lui aussi tourner inlassablement ses regards vers l’avenir — tout en replaçant son action dans une perspective historique, comme Boulez lui-même aimait à le faire. C’est cette perspective qu’il brosse ici, en montrant les racines musicales les plus profondes du maître : des racines qui remontent à la deuxième école de Vienne, qu’il a dirigé à maintes reprises et dont il a enregistré des versions de référence. Il était ainsi tout particulièrement à l’aise dans la concision précise et kaléidoscopique d’Anton Webern, mais savait tout aussi bien sublimer l’expressionnisme d’Arnold Schönberg…
Coproduction Ensemble intercontemporain, Philharmonie de Paris.
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Découvrir la salleComment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris