Concert symphonique
•
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
•
Durée : environ
1h55
dont 1 entracte
Programme
Maurice Ravel
Pavane pour une infante défunte
Thierry Escaich
Concerto pour orgue n° 3
Entracte
Gabriel Fauré
Pavane
Maurice Duruflé
Requiem
(version de 1947)
Distribution
Orchestre national de Lyon
Chœur Spirito
Jeune Choeur symphonique
Leonard Slatkin, direction
Thierry Escaich, orgue
Virginie Verrez, mezzo-soprano
Nikolay Borchev, baryton
Nicole Corti, chef de choeur
Ludovic Tézier, ne pouvant assurer les concerts des 25 et 26 novembre 2017 à Lyon et à Paris pour des raisons personnelles, devait être remplacé par Ariunbaatar Ganbaatar. C'est finalement Nikolay Borchev qui assurera son remplacement.
Christianne Stotijn sera remplacée par Virginie Verrez pour raisons médicales.
Brillante distribution pour cette ode à la musique française dans sa simplicité la plus raffinée : Leonard Slatkin et son Orchestre de Lyon, le grand organiste et compositeur Thierry Escaich et la voix pleine d’autorité d'Ariunbaatar Ganbaatar.
Après le préambule délicieux de la Pavane de Fauré – un rêve éveillé -, retentit le Concerto pour orgue n°3 d’Escaich, un des compositeurs actuels les plus en vue. En parfaite symétrie, la méditation mélancolique de la Pavane pour une infante défunte de Ravel prépare le Requiem de Duruflé, ouvrage considérable et l’un des sommets du genre au XXe siècle. Achevé en 1947, il porte la marque d’un perfectionniste d’une grande méticulosité qui aura consacré sa vie de créateur à l’orgue, son instrument, et à l’orchestre. N'empruntant pas les mêmes chemins avant-gardistes que son contemporain Olivier Messiaen, son langage s’inscrit dans la tradition d’un Fauré et d’un Dukas – un de ses maîtres.
Christianne Stotijn sera remplacée par Virginie Verrez pour raisons médicales.
Brillante distribution pour cette ode à la musique française dans sa simplicité la plus raffinée : Leonard Slatkin et son Orchestre de Lyon, le grand organiste et compositeur Thierry Escaich et la voix pleine d’autorité d'Ariunbaatar Ganbaatar.
Après le préambule délicieux de la Pavane de Fauré – un rêve éveillé -, retentit le Concerto pour orgue n°3 d’Escaich, un des compositeurs actuels les plus en vue. En parfaite symétrie, la méditation mélancolique de la Pavane pour une infante défunte de Ravel prépare le Requiem de Duruflé, ouvrage considérable et l’un des sommets du genre au XXe siècle. Achevé en 1947, il porte la marque d’un perfectionniste d’une grande méticulosité qui aura consacré sa vie de créateur à l’orgue, son instrument, et à l’orchestre. N'empruntant pas les mêmes chemins avant-gardistes que son contemporain Olivier Messiaen, son langage s’inscrit dans la tradition d’un Fauré et d’un Dukas – un de ses maîtres.
Coproduction Orchestre national de Lyon, Philharmonie de Paris
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Découvrir la salleComment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris
