Concert
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Salle des concerts - Cité de la musique
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Durée : environ
2h30
dont 1 entracte
Programme
1ère partie
Entracte
2ème partie
Distribution
Stuart Staples (Tindersticks)
Jehnny Beth (Savages)
Mick Harvey (ex The Bad Seeds)
Conor O' Brien (Villagers)
Cibo Matto
Stealing Sheep
Sophia Brous
Kirin J Callinan
David Coulter, direction musicale et concept original
Afin de préparer votre venue et de faciliter les contrôles liés au plan Vigipirate renforcé à la Philharmonie de Paris, nous vous remercions de vous présenter aux entrées en avance.
Depuis Eraserhead en 1977, jusqu’aux bandes originales d’Angelo Badalamenti pour Twin Peaks ou Mulholland Drive, David Lynch n’a cessé de convoquer la musique ou le son en réinventant leur place au cinéma.
Difficile d’oublier la scène du vénéneux Blue Velvet dans laquelle Dean Stockwell chante en playback In Dreams de Roy Orbison. C’est en fait toute l’œuvre de David Lynch qui est indissociable de la matière musicale, qu’elle vienne d’un certain patrimoine pop(ulaire) ou des partitions du compositeur Angelo Badalamenti pour Sailor & Lula, Twin Peaks, Lost Highway ou bien encore Mulholland Drive. Musique pure, effets sonores ou bruitages, Lynch convoque tous les sons, tous les bruits. Après avoir signé de beaux concerts-hommages à Tom Waits et John Lennon et Yoko Ono notamment, David Coulter revisite cette fois l’univers fascinant du cinéaste américain pour magnifier cette relation à part qu’il entretient avec la musique. Épaulé par un beau casting vocal, il s’accapare les œuvres de Badalamenti comme le songbook lynchien des chansons de David Bowie, Chris Isaak, Jimmy Scott et bien évidemment Roy Orbison. Un concert construit comme un rêve.
Depuis Eraserhead en 1977, jusqu’aux bandes originales d’Angelo Badalamenti pour Twin Peaks ou Mulholland Drive, David Lynch n’a cessé de convoquer la musique ou le son en réinventant leur place au cinéma.
Difficile d’oublier la scène du vénéneux Blue Velvet dans laquelle Dean Stockwell chante en playback In Dreams de Roy Orbison. C’est en fait toute l’œuvre de David Lynch qui est indissociable de la matière musicale, qu’elle vienne d’un certain patrimoine pop(ulaire) ou des partitions du compositeur Angelo Badalamenti pour Sailor & Lula, Twin Peaks, Lost Highway ou bien encore Mulholland Drive. Musique pure, effets sonores ou bruitages, Lynch convoque tous les sons, tous les bruits. Après avoir signé de beaux concerts-hommages à Tom Waits et John Lennon et Yoko Ono notamment, David Coulter revisite cette fois l’univers fascinant du cinéaste américain pour magnifier cette relation à part qu’il entretient avec la musique. Épaulé par un beau casting vocal, il s’accapare les œuvres de Badalamenti comme le songbook lynchien des chansons de David Bowie, Chris Isaak, Jimmy Scott et bien évidemment Roy Orbison. Un concert construit comme un rêve.
Salle des concerts - Cité de la musique
Découvrir la salleComment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris