Concert symphonique
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Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
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Durée : environ
2h00
dont 1 entracte
Programme
Richard Wagner
Ouverture de Parsifal
George Benjamin
Dream of the song, pour contre-ténor, choeur de femmes et orchestre (création française)
Entracte
Johannes Brahms
Symphonie n° 1
Distribution
Orchestre de Paris
SWR Vokalensemble Stuttgart
Daniel Harding, direction
Bejun Mehta, contre-ténor
Marcus Creed, chef de choeur
Après le triomphe de son opéra Written on Skin, Benjamin crée l’événement avec sa nouvelle œuvre inspirée notamment de Garcia Lorca, et que défendent le contre-ténor Bejun Mehta et Daniel Harding.
Après le succès de Written on Skin, que d’aucuns considèrent comme le meilleur opéra des vingt dernières années, George Benjamin a désiré convoquer dans Dream of the Song des poèmes hébreux et des textes de Federico Garcia Lorca. Dédicataire et créateur de l’ouvrage en 2015 au Concertgebouw d’Amsterdam, Bejun Mehta, un des meilleurs contre-ténors actuels, l’interprète au côté de Daniel Harding. Le Prélude de Parsifal, magnifique page symphonique wagnérienne, empreinte de solennité, de mystère et de douleur, est une introduction idéale à l’écoute de Dream of the Song. Place ensuite à Brahms et sa Première Symphonie, créée en 1876 - mais en gestation depuis plus de vingt ans -, dont on a pu dire, un peu abusivement, qu’elle était la Dixième Symphonie de Beethoven, en raison d’une certaine parenté de son finale avec l’Hymne à la joie.
Après le succès de Written on Skin, que d’aucuns considèrent comme le meilleur opéra des vingt dernières années, George Benjamin a désiré convoquer dans Dream of the Song des poèmes hébreux et des textes de Federico Garcia Lorca. Dédicataire et créateur de l’ouvrage en 2015 au Concertgebouw d’Amsterdam, Bejun Mehta, un des meilleurs contre-ténors actuels, l’interprète au côté de Daniel Harding. Le Prélude de Parsifal, magnifique page symphonique wagnérienne, empreinte de solennité, de mystère et de douleur, est une introduction idéale à l’écoute de Dream of the Song. Place ensuite à Brahms et sa Première Symphonie, créée en 1876 - mais en gestation depuis plus de vingt ans -, dont on a pu dire, un peu abusivement, qu’elle était la Dixième Symphonie de Beethoven, en raison d’une certaine parenté de son finale avec l’Hymne à la joie.
Coréalisation Orchestre de Paris, Festival D'automne à Paris
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Découvrir la salleComment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris