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Les enregistrements

Orchestre de Paris

Une sélection d'enregistrements de l'Orchestre de Paris à la Philharmonie.
Orchestre de Paris

Klaus Mäkelä

Stravinski - Le Sacre du Printemps et L'Oiseau de feu

Pour la première fois aux côtés de l’Orchestre de Paris, Klaus Mäkelä consacre son nouvel album à Igor Stravinski avec deux œuvres emblématiques du 20e siècle, Le Sacre du Printemps et L'Oiseau de feu.


Paavo Järvi

Ravel

L'essence de la musique française enregistrée par Paavo Järvi avec l'Orchestre de Paris. Durant son mandat de directeur musical de l'Orchestre de Paris (2010-2016), Paavo Järvi a été très applaudi pour avoir promu l'enregistrement du répertoire de musique française, tel que Fauré, Bizet, Poulenc et Dutilleux. Enfin, le duo a compilé une collection d'œuvres de Ravel, l'un des compositeurs les plus importants de la musique française du XXe siècle.


Paavo Järvi

Sibelius - Intégrale des symphonies

Sous l'égide de Paavo Järvi, l'Orchestre de Paris reprend le cycle complet des symphonies du compositeur finlandais, Jean Sibelius. Enregistré en concert pendant quatre ans, ce cycle était un projet central du mandat du chef d'orchestre estonien.


Paavo Järvi

Dutilleux

Diapason d’or de l’année 2015

Ce programme, engistré par le chef Paavo Järvi et l'Orchestre de Paris, propose trois œuvres essentielles d’Henri Dutilleux, considéré comme le compositeur français le plus important de la seconde moitié du 20e siècle : Sur le même accord, avec le violoniste Christian Tetzlaff, la Symphonie n° 1, et Métaboles, un véritable concerto pour orchestre qui multiplie les solos jusqu’à un finale flamboyant qui récapitule le matériau de l’ensemble des pièces.


Collection Stradivari

Associant la Philharmonie de Paris et le label harmonia Mundi, la collection Stradivari invite les plus grands interprètes à venir jouer sur des instruments précieux ; ils font l'objet des soins amoureux de leurs conservateurs et chaque volume est conçu…
Collection Stradivari

Les Siècles, François-Xavier Roth

Saint Saëns - Symphonic Dreams

C’est un portrait à double face de Saint-Saëns que nous livrent ici François-Xavier Roth et Les Siècles : côté pile, quelques-uns des plus fascinants poèmes symphoniques du romantisme français nous sont révélés dans toute la chatoyance due aux timbres d’époque. Côté face, on redécouvre un compositeur volontiers farceur (le Carnaval des animaux retrouve lui aussi ses couleurs d’origine !), quand il n’est pas engagé dans les balbutiements cinématographiques de son temps, avec la toute première musique jamais composée pour un film !


Trio Dichter (Théotime Langlois de Swarte, Hanna Salzenstein, Fiona Mato), Samuel Hasselhorn

Une invitation chez les Schumann

Le Trio Dichter nous invite à franchir la porte d’un foyer quotidiennement animé par l’effervescence artistique, musicale et humaine d’un des couples les plus emblématiques du romantisme allemand. Bach était leur modèle, Gade, Kirchner et Brahms leurs protégés ; sans oublier l’ami proche de Robert et Clara : Felix Mendelssohn ! Une plongée toute en musique qui en raconte davantage que bien des volumes…


Jean-François Heisser, Marie-Josèphe Jude, piano à quatre mains sur le Pleyel vis-à-vis de 1928

Symphonie fantastique

L’univers sonore élargi qu’offre le double piano Pleyel du Musée de la musique fait naître des timbres inédits dans une caisse de résonance commune et touche du doigt (... des vingt doigts !) les minutieux détails d’une écriture pour orchestre des plus flamboyantes et révolutionnaires.


Raphaël Pidoux, violoncelle Guarneri de 1734, Tanguy de Williencourt, Piano Gebauhr de 1855

Sonates pour violoncelle et piano n°1 & 2 op.5

Confiez deux joyaux de la lutherie européenne à des experts tels que Raphaël Pidoux et Tanguy de Williencourt et découvrez les célèbres Sonates opus 5 de Beethoven telles que vous ne les avez jamais entendues !


Stéphanie d'Oustrac, mezzo-soprano, Tanguy de Williencourt, piano Pleyel 1842, Thibaut Roussel, guitare Grobert vers 1830

Une soirée chez Berlioz

Ce salon propose de découvrir les trop rares romances pour soprano et guitare de Berlioz. Le compositeur pensait toutes ses œuvres à partir de la guitare, qui était son instrument de travail. Interprétées sur l’instrument du maître, une guitare Grobert aujourd’hui conservée au Musée de la musique, ces romances sont associées à une sélection de mélodies et de pièces pour piano comme au temps d’une soirée de l’époque romantique.


Théotime Langlois de Swarte, violon Antonio Stradivari dit le «Davidoff» 1708, Tanguy de Williencourt, piano Érard 1891

"Le Concert retrouvé" : 1er juillet 1907 au Ritz

Proust, programmateur musical ? Les familiers d’À la recherche du temps perdu ne s’en étonneront qu’à moitié, la musique occupant une place centrale dans son œuvre. Pour nourrir son récit, il allait jusqu’à demander aux plus grands interprètes de jouer pour lui.
Ce que l’on sait moins, c’est qu’il lui arrivait de tenir salon musical, à l’instar de ce dîner-concert intime qu’il organisa au Ritz en 1907. La proposition est donc simple : si l’on écoutait ce que Proust voulait écouter et faire écouter à ses convives ?


Louis-Noël Bestion de Camboulas, Les Surprises, Marie Perbost, Marc Mauillon

"An Unexpected Mozart"

Toujours curieux des répertoires injustement délaissés, Louis-Noël Bestion de Camboulas nous propose ici de découvrir un Mozart hors des sentiers battus. Au-delà des sonates d’église, commandes officielles, pages écrites pour mettre en valeur une voix, un instrument (comme le rare harmonica de verre) ou pour témoigner de son amitié à tel ou tel musicien, une véritable succession de perles sonores nous rappelle l’incroyable versatilité du génial Salzbourgeois.


Mathias Levy, violon Pierre Hel de Stéphane Grappelli

"Unis vers"

“De l’unité acquise par le trio sur le plan sonore jusqu’à ses respirations communes en passant par l’élégance de ses contrepoints ou le tramage fusionnel de ses timbres, Mathias Lévy donne à entendre un groupe qui a pleinement trouvé son équilibre. Il confirme surtout qu’il est bien digne de poser son archet sur les cordes de cet instrument marqué de l’empreinte d’un grand artiste et de l’emmener avec lui dans le XXIe siècle.” – Vincent Bessières


Christophe Rousset, clavecin I. Couchet

Nouvelles Suites de clavecin

Avec les albums de la collection Stradivari, retrouvez les instruments d’exception conservés amoureusement au Musée de la musique : des chefs-d’œuvre de la lutherie qui, à l’image de ce fabuleux clavecin signé en 1652 par Ioannes Couchet, ont retrouvé vie grâce aux talents et à la persévérance des conservateurs les plus passionnés. En confiant de tels “trésors nationaux” aux doigts experts d’un Christophe Rousset, le miracle opère en révélant les sonorités somptueuses de la musique de Louis Couperin. Quand poésie se conjugue avec liberté…


Philharmonie x Infiné

Coéditée par le label InFiné et la Philharmonie de Paris, cette série d'albums propose une lecture nouvelle des sons issus de la collection du Musée de la musique par les artistes qui font la scène actuelle.
Philharmonie x Infiné

Arandel

in Bach 2

"Un an et demi après la parution de ce premier disque, InBach vol. 2 est à la fois une suite et un retour, identique et pourtant bien différent, prolongement et dédoublement du premier, il en conjure la part de prouesse technique, au profit d’une immersion peut-être plus profonde. Pop, vibrant par endroits, il a simultanément des allures de spectre."


Arandel

In Bach

Toujours à l’affût du pari audacieux, c’est vers la musique baroque et Bach que se tourne aujourd’hui Arandel. Né d’une proposition du Musée de la musique de la Philharmonie de Paris, InBach rejoue des mélodies du XVIIIe siècle selon une méthode pas banale : d’abord enregistrées sur des instruments du musée, les partitions sont ensuite passées au filtre du studio, découpées, collées, rejouées au synthé. Basse de viole et vielle à roue dialoguent avec le clavitimbre, l’ondioline et autres sortilèges électroniques.


Seb Martel

Saturn 63

À la faveur d’une collaboration entre la Philharmonie de Paris et le très prospectif label InFiné, Seb Martel a eu accès à la fastueuse collection de guitares électriques abritée par le Musée de la musique et a pu en disposer à sa guise. L’album s’intitule Saturn 63, en référence au dernier modèle de guitare qui a été utilisé durant le processus créatif.