Concert sur instruments du Musée
•
Amphithéâtre - Cité de la musique
•
Durée : environ
1h30
Programme
Distribution
Benjamin Britten
Suite pour violoncelle n°3 op. 87
extraits
Pascal Amoyel
In Memoriam
Johann Sebastian Bach
Prélude - Suite pour violoncelle en ré mineur
Léon Boëllmann
Variations Symphoniques
extrait
Felix Mendelssohn
Sonate pour violoncelle et piano n°1
extrait
Richard Strauss
Sonate pour violoncelle et piano
extrait
Hans Werner Henze
Sérénade pour violoncelle
extrait
Claude Debussy
Sonate pour violoncelle et piano
extrait
Lucien Durosoir
Caprice pour violoncelle et harpe
extrait
Pascal Amoyel
Itinérance
Emmanuelle Bertrand
, copie du violoncelle dit "Le Poilu" réalisée par Jean-Louis Prochasson
François Marthouret
, récitant
Philippe Torreton, indisponible, est remplacé par François Marthouret pour ce concert.
Témoin de la vie intime de Maurice Maréchal durant la Première Guerre mondiale, telle qu’il l’a décrite dans ses carnets – dits par François Marthouret –, le « Poilu », son cher violoncelle, revit sous les doigts d’Emmanuelle Bertrand.
Même dans les pires moments, la musique a toujours droit de cité. Voilà ce que nous enseignent les carnets de guerre du grand violoncelliste Maurice Maréchal, auxquels François Marthouret prête sa voix. Compagnon d’infortune, son violoncelle, le « Poilu », fut fabriqué en juin 1915 à partir de bois de caisse de munitions allemandes et de morceaux de porte en chêne par deux soldats, menuisiers dans le civil. Lorsque le régiment se déplaçait pour aller au front, l’instrument voyageait dans le fourgon de ravitaillement, au-dessus des boîtes de conserve. Le violoncelle original est aujourd’hui injouable. Une copie de 2011 permet à Emmanuelle Bertrand de faire entendre à nouveau son chant mélancolique, telle une réminiscence de temps difficiles.
Témoin de la vie intime de Maurice Maréchal durant la Première Guerre mondiale, telle qu’il l’a décrite dans ses carnets – dits par François Marthouret –, le « Poilu », son cher violoncelle, revit sous les doigts d’Emmanuelle Bertrand.
Même dans les pires moments, la musique a toujours droit de cité. Voilà ce que nous enseignent les carnets de guerre du grand violoncelliste Maurice Maréchal, auxquels François Marthouret prête sa voix. Compagnon d’infortune, son violoncelle, le « Poilu », fut fabriqué en juin 1915 à partir de bois de caisse de munitions allemandes et de morceaux de porte en chêne par deux soldats, menuisiers dans le civil. Lorsque le régiment se déplaçait pour aller au front, l’instrument voyageait dans le fourgon de ravitaillement, au-dessus des boîtes de conserve. Le violoncelle original est aujourd’hui injouable. Une copie de 2011 permet à Emmanuelle Bertrand de faire entendre à nouveau son chant mélancolique, telle une réminiscence de temps difficiles.
Comment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris