Vocal Concert
Motets de Bach
Les Arts Florissants - Paul Agnew
Tuesday, 3 April 2018 — 8:30pm
Program
Johann Sebastian Bach
Motet BWV 229 "Komm, Jesu, komm"
Motet BWV Anh. 159 "Ich lasse dich nicht"
Johann Christoph Bach
Motet "Fürchte dich nicht"
Johann Sebastian Bach
Motet BWV 227 "Jesu, meine Freude"
Entracte
Johann Sebastian Bach
Motet BWV 230 "Lobet den Herrn, alle Heiden"
Johann Kuhnau
Motet "Tristis est anima mea"
Johann Ludwig Bach
Motet "Das ist meine Freude"
Johann Sebastian Bach
Motet BWV 225 "Singet dem Herrn ein neues Lied"
Distribution
- Les Arts Florissants
- Paul Agnew
- Maud Gnidzaz
- Natasha Schnur
- Mélodie Ruvio
- Bruno Le Levreur
- Nicholas Scott
- Anicet Castel
- Cyril Costanzo
- Paul Carlioz
- Richard Myron
- Benoît Hartoin
Cantor à l’église Saint-Thomas de Leipzig, Kuhnau a laissé une importante oeuvre vocale sacrée. De son successeur, Johann Sebastian Bach, ne nous restent que quelques motets (moins d’une dizaine, alors que ses cantates se comptent « par centaines »), joyaux dont la rareté ne les rend que plus précieux.
En grande partie composés à Leipzig et destinés à différentes cérémonies (funérailles ou commémorations de défunts), les motets font partie des œuvres les plus remarquables de Johann-Sebastian Bach. Pour d’aucuns, il s’agit même de son recueil le plus parfait. Ils réclament de la part des interprètes une virtuosité considérable, une endurance exceptionnelle, une capacité à passer très rapidement d’une ambiance à une autre et une compréhension très fine de chaque mot. L’utilisation du chœur double se mêle à la forme du canon et de la fugue pour un résultat aussi émouvant que fascinant. En complément, trois motets nés de la plume de Johann Christoph Bach, qu’il qualifiait de « compositeur profond », de Johann Ludwig Bach, son cousin au second degré et de Johann Kuhnau, qu’il estimait.
En grande partie composés à Leipzig et destinés à différentes cérémonies (funérailles ou commémorations de défunts), les motets font partie des œuvres les plus remarquables de Johann-Sebastian Bach. Pour d’aucuns, il s’agit même de son recueil le plus parfait. Ils réclament de la part des interprètes une virtuosité considérable, une endurance exceptionnelle, une capacité à passer très rapidement d’une ambiance à une autre et une compréhension très fine de chaque mot. L’utilisation du chœur double se mêle à la forme du canon et de la fugue pour un résultat aussi émouvant que fascinant. En complément, trois motets nés de la plume de Johann Christoph Bach, qu’il qualifiait de « compositeur profond », de Johann Ludwig Bach, son cousin au second degré et de Johann Kuhnau, qu’il estimait.