Opera
Neuwirth / The Outcast
Hommage à Herman Melville - Ensemble intercontemporain - Orchestre du Conservatoire de Paris - Matthias Pintscher - Netia Jones
Friday, 16 October 2020 — 8:30pm
Cancelled
Program
Olga Neuwirth
The Outcast
Musique d'Olga Neuwirth, Livret de Barry Gifford et Olga Neuwirth, Monologues pour Old Melville d'Anna Mitgutsch
Distribution
- Ensemble intercontemporain
- Orchestre du Conservatoire de Paris
- Company of Music
- Münchner Knabenchor
- Matthias Pintscher, conducting
- Susanne Elmark, Ishmaela
- Otto Katzameier, Ahab
- Andrew Watts, Queequeg
- Georgette Dee, Bartleby
- Johan Leysen, Old Melville
- Steve Karier, Le Père Mapple
- Johannes Bamberger , Starbuck
- Matthias Helm, Stubb
- Soliste du Münchner Knabenchor, Pip
- Netia Jones, design, vidéo
- Gilbert Nouno, sound projection
Ce concert est annulé. Vos billets vous seront remboursés.
Lorsque Olga Neuwirth rend hommage à Melville, cela donne The Outcast (Le Paria), une œuvre de 2011 – à la fois théâtre, musique et vidéo – qui abolit les frontières entre les genres.
« C’est précisément son hétérogénéité qui est fascinante chez Hermann Melville, confie Olga Neuwirth, et c’est elle qui lui a valu tant d’hostilité de son vivant. Il s’est soustrait, dans son écriture, à l’obligation d’illustrer un genre unique. » En lisant ses mots, on ne peut s’empêcher de penser qu’ils s’appliquent également à la compositrice elle-même, figure de proue d’une « troisième école de Vienne ». Cela fait d’ailleurs bien longtemps que l’œuvre d’Herman Melville passionne Olga Neuwirth. Quatre ans avant son grand œuvre d’après Melville qu’est Les Encantadas o le avventure nel mare delle meraviglie, créé par l’Ensemble intercontemporain, elle lui rendait déjà hommage dans un opéra atypique, mêlant installation, théâtre, musique et vidéo, The Outcast (Le Paria). Elle y revisite Moby Dick pour aborder sous un angle inattendu la crise globale et multiforme, politique, sociale et environnementale, qui affecte notre monde contemporain.
Lorsque Olga Neuwirth rend hommage à Melville, cela donne The Outcast (Le Paria), une œuvre de 2011 – à la fois théâtre, musique et vidéo – qui abolit les frontières entre les genres.
« C’est précisément son hétérogénéité qui est fascinante chez Hermann Melville, confie Olga Neuwirth, et c’est elle qui lui a valu tant d’hostilité de son vivant. Il s’est soustrait, dans son écriture, à l’obligation d’illustrer un genre unique. » En lisant ses mots, on ne peut s’empêcher de penser qu’ils s’appliquent également à la compositrice elle-même, figure de proue d’une « troisième école de Vienne ». Cela fait d’ailleurs bien longtemps que l’œuvre d’Herman Melville passionne Olga Neuwirth. Quatre ans avant son grand œuvre d’après Melville qu’est Les Encantadas o le avventure nel mare delle meraviglie, créé par l’Ensemble intercontemporain, elle lui rendait déjà hommage dans un opéra atypique, mêlant installation, théâtre, musique et vidéo, The Outcast (Le Paria). Elle y revisite Moby Dick pour aborder sous un angle inattendu la crise globale et multiforme, politique, sociale et environnementale, qui affecte notre monde contemporain.
Coproduction Festival d'Automne à Paris, Ensemble Intercontemporain, Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris, Philharmonie de Paris
Avec le soutien de la Fondation Ernst von Siemens
Avec le soutien de la Fondation Ernst von Siemens