Concert participatif en famille
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à partir de 6 ans, famille
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Salle des concerts - Cité de la musique
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Durée : environ
1h00
Programme
Distribution
Richard Strauss
Le Bourgeois gentilhomme
Jean-Baptiste Lully
Le Bourgeois gentilhomme
Les Siècles
François-Xavier Roth
, direction
Hélène Barre
, présentation
Laetitia Ringeval
, présentation
Elèves des classe de danse du Conservatoire Gabriel Fauré, Les Lilas
Raphaël Rodriguez
, danse
Christine Bodiou-Katz
, danse
Natalie Van Parys
, chorégraphe
Afin de préparer votre venue et de faciliter les contrôles liés au plan Vigipirate renforcé à la Philharmonie de Paris, nous vous remercions de vous présenter aux entrées en avance.
François-Xavier Roth et Les Siècles proposent les deux œuvres de Lully et Richard Strauss consacrées au Bourgeois gentilhomme.
Le Bourgeois gentilhomme, « comédie-ballet faite à Chambord pour le divertissement du Roi », fut représenté pour la première fois le 14 octobre 1670. La partition de Lully se signale par la profusion de ses danses (sarabande, gavotte, bourrée, menuet…). À la tête des Siècles, François-Xavier Roth fait davantage que diriger : il joue simultanément du tambourin, scande les rythmes à l’aide d’un imposant bâton de direction (ce qui causa, comme l’on sait, la mort du compositeur), s’adresse même parfois au public. 250 ans plus tard, Richard Strauss, sur un livret du fidèle Hugo von Hofmannsthal, livre une musique éloignée de ses poèmes symphoniques les plus connus : gracieuse, spirituelle (« le Maître d’armes »), enjouée, parfois mélancolique mais toujours parée de trouvailles d’orchestration.
François-Xavier Roth et Les Siècles proposent les deux œuvres de Lully et Richard Strauss consacrées au Bourgeois gentilhomme.
Le Bourgeois gentilhomme, « comédie-ballet faite à Chambord pour le divertissement du Roi », fut représenté pour la première fois le 14 octobre 1670. La partition de Lully se signale par la profusion de ses danses (sarabande, gavotte, bourrée, menuet…). À la tête des Siècles, François-Xavier Roth fait davantage que diriger : il joue simultanément du tambourin, scande les rythmes à l’aide d’un imposant bâton de direction (ce qui causa, comme l’on sait, la mort du compositeur), s’adresse même parfois au public. 250 ans plus tard, Richard Strauss, sur un livret du fidèle Hugo von Hofmannsthal, livre une musique éloignée de ses poèmes symphoniques les plus connus : gracieuse, spirituelle (« le Maître d’armes »), enjouée, parfois mélancolique mais toujours parée de trouvailles d’orchestration.

Salle des concerts - Cité de la musique
Découvrir la salleComment venir
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M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris