Concert symphonique
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Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
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Durée : environ
2h00
dont 1 entracte
Programme
Arnold Schönberg
Concerto pour violon
Entracte
Richard Strauss
Symphonie alpestre
Distribution
Orchestre de Paris
Daniel Harding, direction
Isabelle Faust, violon
Sous l’archet d’Isabelle Faust, le Concerto de Schönberg devient pur comme du cristal, tout en restant de chair et de sang. Quant à l’œuvre de Strauss, elle témoigne avec un réalisme saisissant d’une journée passée dans les Alpes.
C’est en 1934, un an après son arrivée aux États-Unis que Schönberg commença le Concerto pour violon. Le compositeur lui-même assurait avec un humour quelque peu sadique l’avoir destiné à une « nouvelle race de violonistes à six doigts ». Interprété par Isabelle Faust, il devient totalement lisible, acquiert largeur et précision et libère toute sa puissance expressive. Avec la Symphonie alpestre (1915), Strauss a laissé un exemple fameux de musique descriptive, avec force orage, tempête, forêt, ruisseau, lever et coucher de soleil. Une partition en technicolor, panorama ultime du grand orchestre post-romantique.
C’est en 1934, un an après son arrivée aux États-Unis que Schönberg commença le Concerto pour violon. Le compositeur lui-même assurait avec un humour quelque peu sadique l’avoir destiné à une « nouvelle race de violonistes à six doigts ». Interprété par Isabelle Faust, il devient totalement lisible, acquiert largeur et précision et libère toute sa puissance expressive. Avec la Symphonie alpestre (1915), Strauss a laissé un exemple fameux de musique descriptive, avec force orage, tempête, forêt, ruisseau, lever et coucher de soleil. Une partition en technicolor, panorama ultime du grand orchestre post-romantique.
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Découvrir la salleComment venir
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3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris