Concert symphonique
•
Salle des concerts - Cité de la musique
•
Durée : environ
2h07
dont 1 entracte
Programme
Distribution
Richard Strauss
Suite de valses du Chevalier à la rose
Alban Berg
Concerto pour violon "A la mémoire d'un ange"
Entracte
Johannes Brahms
Symphonie n° 4
Les Dissonances
David Grimal
, violon, direction
Conduit par le violon soliste de leur chef, David Grimal, l’orchestre Les Dissonances poursuit son exploration du répertoire germanique. Un programme d’une grande densité qui culmine dans le bouleversant Concerto « À la mémoire d’un ange » d’Alban Berg.
Trois chefs d’œuvre du répertoire germanique. Trois compositeurs aux esthétiques a priori dissemblables : le premier, Brahms, qui poursuit dans sa Symphonie n°4 un idéal formel apollinien ; le deuxième, Berg, qui assume pleinement le langage dodécaphonique, et le dernier, Strauss, qui accomplit dans Le Chevalier à la Rose un spectaculaire revirement esthétique après les fulgurances de Salomé et Elektra. Et pourtant, c'est le même regard rétrospectif que les trois compositeurs inscrits au programme de ce concert portent sur la grande tradition viennoise. Par le biais de mélodies saisissantes, Brahms signe un bouleversant adieu au genre de la symphonie. Strauss renoue avec l’insouciance des danses impériales antérieures à 1914 Quant au Concerto de Berg, il cite un choral de Bach comme fanal d’un monde en voie de disparition.
Trois chefs d’œuvre du répertoire germanique. Trois compositeurs aux esthétiques a priori dissemblables : le premier, Brahms, qui poursuit dans sa Symphonie n°4 un idéal formel apollinien ; le deuxième, Berg, qui assume pleinement le langage dodécaphonique, et le dernier, Strauss, qui accomplit dans Le Chevalier à la Rose un spectaculaire revirement esthétique après les fulgurances de Salomé et Elektra. Et pourtant, c'est le même regard rétrospectif que les trois compositeurs inscrits au programme de ce concert portent sur la grande tradition viennoise. Par le biais de mélodies saisissantes, Brahms signe un bouleversant adieu au genre de la symphonie. Strauss renoue avec l’insouciance des danses impériales antérieures à 1914 Quant au Concerto de Berg, il cite un choral de Bach comme fanal d’un monde en voie de disparition.

Salle des concerts - Cité de la musique
Découvrir la salleComment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris
Pour repartir après ce concert
navette bus