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Bryn Terfel - Münchner Rundfunkorchester

Bad Boys
Concert
tout public
Salle Pleyel
Durée : environ 2h00 dont 1 entracte

Programme

Distribution

Giuseppe Verdi
La Forza del destino
Ouverture
Gaetano Donizetti
L'Elisir d'amore
« Udite, udite, o rustici »
Arrigo Boito
Mefistofele
« Son lo spirito che nega »
Carl Maria von Weber
Der Freischütz / ouverture
« Schweig, Schweig »
Charles Gounod
Faust
Ballet - Adagio, Allegretto, Valse
Faust
« Le veau d’or »
Faust
Le choeur des soldats
Giacomo Puccini
Tosca
« Te Deum »
Entracte
Giuseppe Verdi
Otello
« Credo »
Camille Saint-Saëns
Samson et Dalila
Danse macabre
Stephen Sondheim
Sweeney Todd
« The Ballad of Sweeney Todd »
Kurt Weill
L’Opéra de quat’sous
« Mack the knife »
Arthur Sullivan
Ruddigore
« When the night wind howls »
Modeste Moussorgski
La nuit du Mont Chauve
George Gershwin
Porgy and Bess
« It ain’t necessarily so »
Bryn Terfel , baryton-basse
Münchner Rundfunkorchester
Canzonetta Chamber Choir , choeur
Gareth Jones , direction
Bad Boys, le dernier disque de Bryn Terfel, paru début 2010 chez Deutsche Grammophon, est une galerie jubilatoire de «méchants garçons» de la musique qui réunit certaines des figures les plus dépourvues de scrupules, les plus cyniques, les plus retorses, les plus espiègles de la scène lyrique. Bryn Terfel les appelle les «mécontents et les marginaux diaboliques de cette merveilleuse musique». Certains ne sont pas simplement mauvais – ils dégagent également un relent démoniaque de soufre... Pour son retour dans la série des Grandes Voix, Bryn Terfel a choisi de partager avec le public une pléiade de personnages qui n’ont aucun problème à agir selon leurs instincts maléfiques, de Satan lui-même (présent à la fois dans le Faust de Gounod et le Méphistophélès de Boito) au nihiliste Iago (Othello de Verdi), du mal surnaturel incarné par Caspar dans Der Freischütz de Weber au « diabolique barbier » victorien qu’est le Sweeney Todd de Stephen Sondheim, du dealer Sportin’ Life, fripouille sans vergogne officiant dans Porgy and Bess de Gershwin, au charlatan Dulcamara qui vend ses produits miracles dans L’Elisir d’amore, ce dernier étant toutefois plus calculateur que véritablement vil.
Coproduction Céleste Productions - Les Grandes Voix, UMCMP.