Concert
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Cité de la musique - Amphithéâtre
•
Durée : environ
1h30
dont 1 entracte
Programme
Distribution
Johann Sebastian Bach
Toccata en ré mineur, BWV 913
Toccata en sol majeur, BWV 916
Toccata en sol mineur, BWV 915
Toccata en do mineur, BWV 911
Entracte
Toccata en mi mineur, BWV 914
Toccata en fa dièse mineur, BWV 910
Toccata en ré majeur, BWV 912
Christine Schornsheim
, clavecin Ruckers/Taskin 1646/1780 (collection Musée de la musique)
Conçue avec la complicité d'Olivier Baumont, cette intégrale de l’œuvre pour clavecin de Bach est un triple événement. Elle s'appuie d'abord sur des instruments de la collection du Musée de la musique, dont les timbres continuent de fasciner par leur intensité et leur originalité. Elle est également portée par les meilleurs clavecinistes d’aujourd’hui, toutes générations confondues... Et elle aboutit enfin à la date symbolique du 21 mars, date anniversaire de la naissance de Johann Sebastien Bach. C'est lors du concert final que le monde du clavecin pourra saluer la mémoire du grand maître qu'était Gustav Leonhardt, disparu en janvier 2012.
Cette intégrale inclut – cela va de soi – l’ensemble du Clavier bien tempéré, donné in extenso lors de deux concerts. Destiné à illustrer les avantages du tempérament égal qui permettait de moduler dans tous les tons, ce recueil en deux volumes dépasse de loin toutes les tentatives antérieures comparables (notamment l’Ariadne musica de J. C. F. Fischer). En le confrontant aux autres pages de Bach pour le clavecin, on pourra apprécier, sur les instruments des collections du Musée de la musique, les contrastes entre des tempéraments inégaux et le tempérament égal. Deux mondes sonores qui se fondent, l’un sur la résonance dite naturelle, l’autre sur un accord issu d’une division artificiellement égalisée de l’octave.
Cette intégrale inclut – cela va de soi – l’ensemble du Clavier bien tempéré, donné in extenso lors de deux concerts. Destiné à illustrer les avantages du tempérament égal qui permettait de moduler dans tous les tons, ce recueil en deux volumes dépasse de loin toutes les tentatives antérieures comparables (notamment l’Ariadne musica de J. C. F. Fischer). En le confrontant aux autres pages de Bach pour le clavecin, on pourra apprécier, sur les instruments des collections du Musée de la musique, les contrastes entre des tempéraments inégaux et le tempérament égal. Deux mondes sonores qui se fondent, l’un sur la résonance dite naturelle, l’autre sur un accord issu d’une division artificiellement égalisée de l’octave.