Concert
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Cité de la musique - Salle des concerts
JAMES BLAKE
Il n’a pas un quart de siècle et James Blake est déjà l’un des acteurs majeurs de la scène électro d’outre-Manche. Lui qui (dé) construit sa techno climatique, faite de beats titubants, de nuages de pianos floutés et de voix venues d’une autre galaxie, a réussi à embarquer le dubstep sur les chemins de la chanson. Portée par toutes ces textures atmosphériques d’une étrange beauté, sa voix de crooner angélique filtrée au gospel offre des reliefs mélancoliques inédits dans la sphère des musiques électroniques. Avec James Blake, le dancefloor ne prend pas feu, il est une mer où les corps se contorsionnent au ralenti. Une sensation tellement folle qu’elle fascine même un maître comme Brian Eno, invité sur le deuxième album du Londonien, Overgrown. Grâce à Blake, la techno s’offre un trip innovant, des paysages jamais vus et foule des terres vierges.
Première partie : SOHN
Comme chez son confrère James Blake, l’électro de Sohn renferme une chaleur indéniable. A peine quelques titres lâchés dans la nature du web que ce chanteur, multi-instrumentiste et producteur londonien, installé depuis peu à Vienne en Autriche, imposait son nom sur la scène post-dubstep. Sur des rythmiques planantes, Sohn laisse sa superbe voix, parfois cristalline, surfer sur une soul électronique d’une sensualité folle. Tout est minimaliste et épuré chez lui. Une économie de moyens qui confère un éclairage sombre et solitaire à son univers mais, surtout, n’empêche jamais sa musique d’être hypnotique et attachante. C’est cette mélancolie qui fait de ce dompteur de rythmes calibrés et de voix presqu’érotique, un impressionnant horloger suisse de la composition.
Découvrez avant ce concert, sur la scène iDTGV Jeunes Talents : APES & HORSES
En accès libre à 19h, pour en savoir plus suivez ce lien.
Il n’a pas un quart de siècle et James Blake est déjà l’un des acteurs majeurs de la scène électro d’outre-Manche. Lui qui (dé) construit sa techno climatique, faite de beats titubants, de nuages de pianos floutés et de voix venues d’une autre galaxie, a réussi à embarquer le dubstep sur les chemins de la chanson. Portée par toutes ces textures atmosphériques d’une étrange beauté, sa voix de crooner angélique filtrée au gospel offre des reliefs mélancoliques inédits dans la sphère des musiques électroniques. Avec James Blake, le dancefloor ne prend pas feu, il est une mer où les corps se contorsionnent au ralenti. Une sensation tellement folle qu’elle fascine même un maître comme Brian Eno, invité sur le deuxième album du Londonien, Overgrown. Grâce à Blake, la techno s’offre un trip innovant, des paysages jamais vus et foule des terres vierges.
Première partie : SOHN
Comme chez son confrère James Blake, l’électro de Sohn renferme une chaleur indéniable. A peine quelques titres lâchés dans la nature du web que ce chanteur, multi-instrumentiste et producteur londonien, installé depuis peu à Vienne en Autriche, imposait son nom sur la scène post-dubstep. Sur des rythmiques planantes, Sohn laisse sa superbe voix, parfois cristalline, surfer sur une soul électronique d’une sensualité folle. Tout est minimaliste et épuré chez lui. Une économie de moyens qui confère un éclairage sombre et solitaire à son univers mais, surtout, n’empêche jamais sa musique d’être hypnotique et attachante. C’est cette mélancolie qui fait de ce dompteur de rythmes calibrés et de voix presqu’érotique, un impressionnant horloger suisse de la composition.
Découvrez avant ce concert, sur la scène iDTGV Jeunes Talents : APES & HORSES
En accès libre à 19h, pour en savoir plus suivez ce lien.
