Concert
Orchestre de Paris / Pablo Heras-Casado
Isabelle Faust - Debussy, Eötvös, Stravinski
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- Navettes gratuites
- Taxi G7
Mercredi 11 septembre 2019 — 20h30
Jeudi 12 septembre 2019 — 20h30
Programme
Claude Debussy
La Mer
Péter Eötvös
Alhambra - Concerto pour violon
(commande du Festival international de musique et de danse de Grenade, de la BBC Radio 3, du Stiftung Berliner Philharmoniker, de l’Orchestre de Paris, du Mahler Chamber Orchestra et du Festival de Beijing - création française)
Entracte
Igor Stravinski
Le Sacre du printemps
Distribution
- Orchestre de Paris
- Pablo Heras-Casado, direction
- Isabelle Faust, violon
Ces deux concerts sont dédiés à la mémoire de Julien Gauthier, compositeur et preneur de son, décédé le 15 août dernier au cours d’une expédition musicale dans le Grand Nord canadien. Julien Gauthier intervenait régulièrement à la Cité de la musique - Philharmonie de Paris dans le cadre des projets Démos, Parcours musiques et des conférences au Musée de la musique.
Deux œuvres phares de la musique du xxe siècle encadrent Alhambra, le troisième concerto pour violon de Péter Eötvös, composé pour Isabelle Faust.
Après Seven et DoReMi (joué la saison dernière par Patricia Kopatchinskaja), Alhambra constitue le dernier volet d’une trilogie violonistique concertante. Il évoque les célèbres palais et jardins de Grenade, qui avaient déjà inspiré Manuel de Falla dans le premier volet de ses Nuits dans les jardins d’Espagne. Aux « esquisses symphoniques » de La Mer, aussi flamboyantes qu’allusives, écrites par Debussy d’après « d’innombrables souvenirs », répondent la fureur du rituel stravinskien, ses déflagrations et sa puissance incantatoire qui secouent l’auditeur comme au premier jour.
Deux œuvres phares de la musique du xxe siècle encadrent Alhambra, le troisième concerto pour violon de Péter Eötvös, composé pour Isabelle Faust.
Après Seven et DoReMi (joué la saison dernière par Patricia Kopatchinskaja), Alhambra constitue le dernier volet d’une trilogie violonistique concertante. Il évoque les célèbres palais et jardins de Grenade, qui avaient déjà inspiré Manuel de Falla dans le premier volet de ses Nuits dans les jardins d’Espagne. Aux « esquisses symphoniques » de La Mer, aussi flamboyantes qu’allusives, écrites par Debussy d’après « d’innombrables souvenirs », répondent la fureur du rituel stravinskien, ses déflagrations et sa puissance incantatoire qui secouent l’auditeur comme au premier jour.
Écouter et regarder
Claude Debussy : La Mer - Philharmonia Orchestra, Pablo Heras-Casado (direction)