Spectacle
Bunraku
Bunraku Kyokai - Artistes de l'Association de Bunraku du Japon
Pour repartir après ce concert
- Navettes gratuites pour le concert du soir
Vendredi 12 octobre 2018 — 20h30
Samedi 13 octobre 2018 — 15h00
Programme
- Hidakagawa iriaizakura (Les Cerisiers du fleuve Hidaka)
- Tsubosaka-kannon Reigen-ki (Le Miracle du Tsubosaka Kannon)
Entracte
Distribution
- Bunraku Kyokai - Artistes de l'Association de Bunraku du Japon
- Chitose-Dayu Takemoto, narrateur
- Tomisuke Toyozawa, shamisen
- Tamao Yoshida, marionnettiste
Le bunraku japonais est un genre ancien mêlant le récit chanté, le théâtre de marionnettes de grande taille et de savantes instrumentations. L'Association de Bunraku du Japon ouvre le week-end Japon à la Philharmonie de Paris.
Dans les deux pièces interprétées, il est question d’amour fou, de magie et de jalousie. Sawaichi, jeune homme aveugle, est marié à la belle Osato, qu’il aime d’un amour absolu, et se suicide avec elle près du temple bouddhiste Tsubosaka, avant que ne survienne un miracle. Tel est l’argument de la première pièce, Tsubosaka Reigen-ki, très populaire au Japon et créée au théâtre Hikorokuza d’Osaka en février 1887. La seconde pièce, Hidakagawa Iriaizakura, conte l’histoire d’une femme dont la jalousie dévorante la transforme en serpent géant et la pousse à tuer son ancien amant. Le bunraku, considéré dans ce pays comme un genre dramatique traditionnel majeur est inscrit depuis 2008 au patrimoine immatériel de l’humanité de l’Unesco. Au XVIIe siècle, les représentations duraient une journée entière ; à travers les siècles, elles ont été progressivement redimensionnées.

Dans les deux pièces interprétées, il est question d’amour fou, de magie et de jalousie. Sawaichi, jeune homme aveugle, est marié à la belle Osato, qu’il aime d’un amour absolu, et se suicide avec elle près du temple bouddhiste Tsubosaka, avant que ne survienne un miracle. Tel est l’argument de la première pièce, Tsubosaka Reigen-ki, très populaire au Japon et créée au théâtre Hikorokuza d’Osaka en février 1887. La seconde pièce, Hidakagawa Iriaizakura, conte l’histoire d’une femme dont la jalousie dévorante la transforme en serpent géant et la pousse à tuer son ancien amant. Le bunraku, considéré dans ce pays comme un genre dramatique traditionnel majeur est inscrit depuis 2008 au patrimoine immatériel de l’humanité de l’Unesco. Au XVIIe siècle, les représentations duraient une journée entière ; à travers les siècles, elles ont été progressivement redimensionnées.

Coproduction Fondation du Japon, Philharmonie de Paris
En partenariat avec la Maison de la culture du Japon à Paris
Dans le cadre de Japonismes 2018
En partenariat avec la Maison de la culture du Japon à Paris
Dans le cadre de Japonismes 2018
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