Spectacle
Théâtre nô et kyōgen
Kirokuda - Kiyotsune
Pour repartir après ce concert
- Navettes gratuites
Jeudi 7 février 2019 — 20h30
Samedi 9 février 2019 — 20h30
Programme
- première partie
- Kirokuda (théâtre kyōgen)
- seconde partie
- Kiyotsune (théâtre nô)
Entracte
Distribution
- Man Nomura, maître de kyōgen
- Minoru Umewaka, maître de nô
- Musiciens de l'association du Nô
Quatre journées pour découvrir la richesse et la beauté du nô et du kyōgen, arts traditionnels japonais. Ce deuxième spectacle voit le nô (sorte de drame lyrique narré, mimé et dansé) succéder au kyōgen, son versant comique.
À l’instar d’autres arts japonais comme le gagaku et le buyō, le kyōgen tire ses racines d’arts chinois qui ont été importés au Japon au VIIIe siècle. Contrairement au nô, solennel et tragique, le kyōgen use du registre comique et présente des pièces courtes. Il répond néanmoins à un grand degré d’exigence, car tous les éléments qui le constituent sont transmis depuis des siècles et requièrent un niveau d’apprentissage et de perfectionnement très important. Le nô provient, lui, de métamorphoses traditionnelles de cérémonies religieuses : les drames qu’il représente, l’utilisation de masques et d’une musique extrêmement codifiée le rendent unique au monde. Ce deuxième spectacle permet donc d’assister à l’alternance de l’un et de l’autre, et de s’émerveiller devant la perfection de ces arts centenaires.
Le programme, les costumes, le décor composé d’un toit, de piliers, d’une « passerelle » (hashigakari) et d’une « pièce au miroir » (kagami no ma) sont authentiquement reproduits pour ces spectacles, une première pour les spectateurs français de nô et de kyōgen.

À l’instar d’autres arts japonais comme le gagaku et le buyō, le kyōgen tire ses racines d’arts chinois qui ont été importés au Japon au VIIIe siècle. Contrairement au nô, solennel et tragique, le kyōgen use du registre comique et présente des pièces courtes. Il répond néanmoins à un grand degré d’exigence, car tous les éléments qui le constituent sont transmis depuis des siècles et requièrent un niveau d’apprentissage et de perfectionnement très important. Le nô provient, lui, de métamorphoses traditionnelles de cérémonies religieuses : les drames qu’il représente, l’utilisation de masques et d’une musique extrêmement codifiée le rendent unique au monde. Ce deuxième spectacle permet donc d’assister à l’alternance de l’un et de l’autre, et de s’émerveiller devant la perfection de ces arts centenaires.
Le programme, les costumes, le décor composé d’un toit, de piliers, d’une « passerelle » (hashigakari) et d’une « pièce au miroir » (kagami no ma) sont authentiquement reproduits pour ces spectacles, une première pour les spectateurs français de nô et de kyōgen.

Coproduction Fondation du Japon, Nikkei Inc., Philharmonie de Paris
En partenariat avec La Maison de la culture du Japon à Paris
Dans le cadre de Japonismes 2018
En partenariat avec La Maison de la culture du Japon à Paris
Dans le cadre de Japonismes 2018
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Clé d'écoute
Kirokuda - Kiyotsune
Nô de guerriers, farce de valets — 09/02/2019 - 19h45