Spectacle
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Salle des concerts - Cité de la musique
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Durée : environ
2h10
dont 1 entracte
Programme
Distribution
première partie
Kirokuda (théâtre kyōgen)
Entracte
seconde partie
Kiyotsune (théâtre nô)
Man Nomura
, maître de kyogen
Minoru Umewaka
, maître de nô
Musiciens de l'association du Nô
Quatre journées pour découvrir la richesse et la beauté du nô et du kyōgen, arts traditionnels japonais. Ce deuxième spectacle voit le nô (sorte de drame lyrique narré, mimé et dansé) succéder au kyōgen, son versant comique.
À l’instar d’autres arts japonais comme le gagaku et le buyō, le kyōgen tire ses racines d’arts chinois qui ont été importés au Japon au VIIIe siècle. Contrairement au nô, solennel et tragique, le kyōgen use du registre comique et présente des pièces courtes. Il répond néanmoins à un grand degré d’exigence, car tous les éléments qui le constituent sont transmis depuis des siècles et requièrent un niveau d’apprentissage et de perfectionnement très important. Le nô provient, lui, de métamorphoses traditionnelles de cérémonies religieuses : les drames qu’il représente, l’utilisation de masques et d’une musique extrêmement codifiée le rendent unique au monde. Ce deuxième spectacle permet donc d’assister à l’alternance de l’un et de l’autre, et de s’émerveiller devant la perfection de ces arts centenaires.
Le programme, les costumes, le décor composé d’un toit, de piliers, d’une « passerelle » (hashigakari) et d’une « pièce au miroir » (kagami no ma) sont authentiquement reproduits pour ces spectacles, une première pour les spectateurs français de nô et de kyōgen.
À l’instar d’autres arts japonais comme le gagaku et le buyō, le kyōgen tire ses racines d’arts chinois qui ont été importés au Japon au VIIIe siècle. Contrairement au nô, solennel et tragique, le kyōgen use du registre comique et présente des pièces courtes. Il répond néanmoins à un grand degré d’exigence, car tous les éléments qui le constituent sont transmis depuis des siècles et requièrent un niveau d’apprentissage et de perfectionnement très important. Le nô provient, lui, de métamorphoses traditionnelles de cérémonies religieuses : les drames qu’il représente, l’utilisation de masques et d’une musique extrêmement codifiée le rendent unique au monde. Ce deuxième spectacle permet donc d’assister à l’alternance de l’un et de l’autre, et de s’émerveiller devant la perfection de ces arts centenaires.
Le programme, les costumes, le décor composé d’un toit, de piliers, d’une « passerelle » (hashigakari) et d’une « pièce au miroir » (kagami no ma) sont authentiquement reproduits pour ces spectacles, une première pour les spectateurs français de nô et de kyōgen.
Coproduction Fondation du Japon, Nikkei Inc., Philharmonie de Paris
En partenariat avec La Maison de la culture du Japon à Paris
Dans le cadre de Japonismes 2018
Salle des concerts - Cité de la musique
Découvrir la salleComment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris
Pour repartir après ce concert
navette bus