Concert avec images
Hommage à Steven Spielberg
London Symphony Orchestra - Frank Strobel
Dimanche 10 décembre 2017 — 16h30
Programme
John Williams
Jurassic Park
Les Dents de la mer
Indiana Jones
E.T.
Les Aventures de Tintin
Le Bon Gros Géant
Jerry Goldsmith
Poltergeist
Les Gremlins
Thomas Newman
Le Pont des Espions
Alan Silvestri
Retour vers le Futur
Michael Giacchino
Super 8
Don Davis
Jurassic Park III
Distribution
- London Symphony Orchestra
- Frank Strobel, direction
E.T., Les Dents de la Mer, Indiana Jones, Jurassik Park… On ne compte plus les succès engrangés par le duo Steven Spielberg/John Williams.
Depuis leur rencontre en 1974 pour Sugarland Express, Steven Spielberg et John Williams ne se sont plus quittés. Ils ont développé une telle complicité qu’une seule image du premier suffit à faire entendre la musique du second — et vice versa. Se jouant de références multiples et de citations cachées, de Schubert à Berg, en passant par Mahler ou Brahms, l’écriture de John Williams est excessivement maîtrisée et efficace, héritière d’un siècle de musique hollywoodienne, dont elle est la synthèse en même temps que l’emblème… Ponctuellement, pour des projets bien particuliers, ou lorsque son compositeur fétiche s’est révélé indisponible ou indisposé, Steven Spielberg lui a toutefois fait quelques infidélités. Citons Jerry Goldsmith, avec lequel il a souhaité travailler sur son film basé sur la série Twilight Zone, en un clin d’œil adressé à toutes les partitions de science-fiction, et notamment à Alien ; Quincy Jones, pour ressusciter les premiers temps du jazz dans La Couleur pourpre ; ou encore, très récemment, Thomas Newman pour Le Pont aux espions. Mais ces bandes originales ne seraient rien sans le London Symphony Orchestra, compagnon de route de John Williams et premier interprète de toutes ces musiques de film ou presque…

Depuis leur rencontre en 1974 pour Sugarland Express, Steven Spielberg et John Williams ne se sont plus quittés. Ils ont développé une telle complicité qu’une seule image du premier suffit à faire entendre la musique du second — et vice versa. Se jouant de références multiples et de citations cachées, de Schubert à Berg, en passant par Mahler ou Brahms, l’écriture de John Williams est excessivement maîtrisée et efficace, héritière d’un siècle de musique hollywoodienne, dont elle est la synthèse en même temps que l’emblème… Ponctuellement, pour des projets bien particuliers, ou lorsque son compositeur fétiche s’est révélé indisponible ou indisposé, Steven Spielberg lui a toutefois fait quelques infidélités. Citons Jerry Goldsmith, avec lequel il a souhaité travailler sur son film basé sur la série Twilight Zone, en un clin d’œil adressé à toutes les partitions de science-fiction, et notamment à Alien ; Quincy Jones, pour ressusciter les premiers temps du jazz dans La Couleur pourpre ; ou encore, très récemment, Thomas Newman pour Le Pont aux espions. Mais ces bandes originales ne seraient rien sans le London Symphony Orchestra, compagnon de route de John Williams et premier interprète de toutes ces musiques de film ou presque…

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