Concert symphonique
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Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
•
Durée : environ
1h50
dont 1 entracte
Programme
Distribution
Ludwig van Beethoven
Coriolan (ouverture)
Maurice Ravel
Concerto en sol
Entracte
Richard Strauss
Ein Heldenleben (Une vie de héros)
Orchestre National d'Île-de-France
Eugene Tzigane
, direction
Lucas Debargue
, piano
L'héroïsme, c'est celui du général romain Coriolan ou encore du super-héros auquel Richard Strauss a consacré l'un de ses plus flamboyants poèmes symphoniques. Quant au jeune pianiste Lucas Debargue, il est également devenu un héros après ses prestations enthousiasmantes.
Jeune héros, Lucas Debargue l’est sans conteste, lui qui, même s’il n’a pas remporté le premier prix, a enflammé le prestigieux Concours Tchaïkovski de Moscou en 2015. Depuis, les Russes (pourtant toujours exigeants, surtout en matière de piano) l’ont adopté comme l’un des leurs, succombant au charme de cette personnalité atypique et surprenante. Le Concerto en sol de Ravel est idéal pour son jeu agile et coloré. Debargue est d’ailleurs l’un des seuls à concilier aussi bien la musique russe que le répertoire français, comme le lui avait demandé son professeur Rena Cherechevskaïa. Pour ce concert, l’étonnant pianiste est encadré par deux références romantiques : l’ouverture composée en 1801 par Beethoven pour le Coriolan de Goethe et Une vie de héros de Strauss (1898), gigantesque fresque symphonique qui sert aussi d’autoportrait à un compositeur qui s’est révélé dans de sublimes élans wagnériens.
Jeune héros, Lucas Debargue l’est sans conteste, lui qui, même s’il n’a pas remporté le premier prix, a enflammé le prestigieux Concours Tchaïkovski de Moscou en 2015. Depuis, les Russes (pourtant toujours exigeants, surtout en matière de piano) l’ont adopté comme l’un des leurs, succombant au charme de cette personnalité atypique et surprenante. Le Concerto en sol de Ravel est idéal pour son jeu agile et coloré. Debargue est d’ailleurs l’un des seuls à concilier aussi bien la musique russe que le répertoire français, comme le lui avait demandé son professeur Rena Cherechevskaïa. Pour ce concert, l’étonnant pianiste est encadré par deux références romantiques : l’ouverture composée en 1801 par Beethoven pour le Coriolan de Goethe et Une vie de héros de Strauss (1898), gigantesque fresque symphonique qui sert aussi d’autoportrait à un compositeur qui s’est révélé dans de sublimes élans wagnériens.
Production Orchestre national d'Île-de-France

Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Découvrir la salleComment venir
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3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris
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