Concert symphonique
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Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
•
Durée : environ
1h20
Programme
Distribution
Ludwig van Beethoven
Concerto pour violon
Symphonie n° 4
Les Dissonances
David Grimal
, violon, direction artistique
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Le programme de ce concert a été modifié.
David Grimal et Les Dissonances interprètent deux œuvres de Beethoven composées en 1806 : le Concerto pour violon, un pilier du répertoire, tout à la fois noble et d’un lyrisme serein, et la Quatrième Symphonie, d’une irrésistible vitalité.
Unique à plus d’un titre, le Concerto pour violon de Beethoven ne trouva sa place au concert (désormais une des toutes premières) que progressivement. Rien dans cette œuvre n’est fait pour mettre le soliste en situation d’impressionner l’auditeur ; il n’intervient d’ailleurs qu’après une longue introduction orchestrale. Tout comme le contemporain Quatrième Concerto pour piano, il se caractérise avant tout par une douce quiétude. Moins commentée que les deux célèbres qui l’entourent, la Quatrième Symphonie n’a néanmoins pas à en rougir. Berlioz ne se lassait pas du mouvement lent, qui « surpasse tout ce que l’imagination la plus brûlante pourra jamais rêver de tendresse et de pure volupté ». Quant à son finale, il éclate d’une ardeur étourdissante.
Le programme de ce concert a été modifié.
David Grimal et Les Dissonances interprètent deux œuvres de Beethoven composées en 1806 : le Concerto pour violon, un pilier du répertoire, tout à la fois noble et d’un lyrisme serein, et la Quatrième Symphonie, d’une irrésistible vitalité.
Unique à plus d’un titre, le Concerto pour violon de Beethoven ne trouva sa place au concert (désormais une des toutes premières) que progressivement. Rien dans cette œuvre n’est fait pour mettre le soliste en situation d’impressionner l’auditeur ; il n’intervient d’ailleurs qu’après une longue introduction orchestrale. Tout comme le contemporain Quatrième Concerto pour piano, il se caractérise avant tout par une douce quiétude. Moins commentée que les deux célèbres qui l’entourent, la Quatrième Symphonie n’a néanmoins pas à en rougir. Berlioz ne se lassait pas du mouvement lent, qui « surpasse tout ce que l’imagination la plus brûlante pourra jamais rêver de tendresse et de pure volupté ». Quant à son finale, il éclate d’une ardeur étourdissante.

Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Découvrir la salleComment venir
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3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris