Concert symphonique
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							Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
						
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								Durée : environ 
																	1h40
								
															
											Programme
Distribution
Gustav Mahler
                                                                                        Symphonie n° 2 "Résurrection"
                                                                                                                                
                                                                        Orchestre de Paris
                                                                    
                                                                
                                                                        Chœur de l'Orchestre de Paris
                                                                    
                                                                
                                                                        Klaus Mäkelä
                                                                            , direction
                                                                    
                                                                
                                                                        Mari Eriksmoen
                                                                            , soprano
                                                                    
                                                                
                                                                        Elisabeth Kulman
                                                                            , mezzo-soprano
                                                                    
                                                                
                                                                        Lionel Sow
                                                                            , chef de chœur
                                                                    
                                                            
						Ce concert est reporté au 9 décembre 2020.
La situation sanitaire nous impose de revoir le programme de ce concert.
Vaste poème existentiel et métaphysique, la Symphonie n° 2 de Gustav Mahler, sous-titrée « Résurrection », affronte, avec toute la fièvre expressive mahlérienne, la question de la finitude et de l’espoir d’une seconde vie.
Emprunté à un poème de Klopstock (1724-1803), le terme de « Résurrection » fixe l’horizon vers lequel convergent les cinq mouvements, qui recourent également au trésor mélodique que constitue le Knaben Wunderhorn (« Cor merveilleux de l’enfant »). Après une imposante pièce funèbre, citant le célèbre Dies Irae, le souvenir de la fête populaire vient alléger la tension, symbolisant la résistance de l’instinct vital. Mais l’angoisse ressurgit bientôt sous la forme d’une ronde ironique et infernale, striée de dissonances désespérées et s’achevant par une poignante mélodie, « Urlicht » (« Lumière originelle »), où la voix d’alto chante la détresse de l’homme. Puissant, animé de luttes internes, le vaste Finale se déchaîne jusqu’au murmure du chœur affirmant, après le silence apocalyptique : « Je mourrai pour vivre. »
 
					
									La situation sanitaire nous impose de revoir le programme de ce concert.
Vaste poème existentiel et métaphysique, la Symphonie n° 2 de Gustav Mahler, sous-titrée « Résurrection », affronte, avec toute la fièvre expressive mahlérienne, la question de la finitude et de l’espoir d’une seconde vie.
Emprunté à un poème de Klopstock (1724-1803), le terme de « Résurrection » fixe l’horizon vers lequel convergent les cinq mouvements, qui recourent également au trésor mélodique que constitue le Knaben Wunderhorn (« Cor merveilleux de l’enfant »). Après une imposante pièce funèbre, citant le célèbre Dies Irae, le souvenir de la fête populaire vient alléger la tension, symbolisant la résistance de l’instinct vital. Mais l’angoisse ressurgit bientôt sous la forme d’une ronde ironique et infernale, striée de dissonances désespérées et s’achevant par une poignante mélodie, « Urlicht » (« Lumière originelle »), où la voix d’alto chante la détresse de l’homme. Puissant, animé de luttes internes, le vaste Finale se déchaîne jusqu’au murmure du chœur affirmant, après le silence apocalyptique : « Je mourrai pour vivre. »
 
            Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
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Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris 
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