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Private Domain
6 janvier
Toute la programmation

Private Domain - Iko

Rosemary Standley (Moriarty), Marc Collin (Nouvelle Vague), Murcof, Para One, Paul et Louise
Concert
Cité de la musique - Salle des concerts

Programme

Distribution

Spectacle conçu par Laurence Equilbey
Murcof
Louis XIV Démon
Iko / Para One
Passion
d'après la Passion selon Saint-Jean de Bach
Iko / Emilie Simon
Remember me
d'après Dido and Aeneas de Purcell, "When I was laid"
Iko / Murcof
Death and Maiden
d'après Der Tod und das Mädchen de Schubert
Amor
d'après Monteverdi, "Lamento della Ninfa"
Iko / Para One
Requiem
d'après le Requiem de Mozart, "Offertoire"
Para One
Liège
Marc Collin / Iko / Paul & Louise
Here in this place
d'après Les Indes galantes de Rameau, "La danse des sauvages"
Marc Collin / Iko
Addio
d'après La Traviata de Verdi, "Addio Del Passato"
Iko / Emilie Simon
Un rêve
d'après Fauré, "Après un rêve"
Iko / Para One
Septième
d'après l'allegretto de la Septième symphonie de Beethoven
Iko / Knut Nystedt
Immortal Bach
bis
Murcof ,
Para One ,
Rosemary Standley , (de Moriarty)
Marc Collin , (de Nouvelle Vague)
Paul et Louise ,
Ensemble Private Domain , choeur et orchestre
Iko , direction artistique
En revisitant de grandes œuvres du passé à l’ère du numérique, l’ambition d’Iko et de ses invités est tout simplement de faire redécouvrir Bach, Mozart ou Schubert autrement. « Marier la richesse fascinante de l’électronique au classique, c’est pour moi une manière d’alerter l’oreille des gens, de ceux qui, trop nombreux, pensent encore que le classique est une musique terne et lisse », déclare Iko. Son Private Domain marque ainsi la rencontre entre la tradition de l’écriture et le langage actuel de quelques-uns des artistes les plus créatifs venus de l’électro et de la pop. Personnalité majeure de la techno la plus expérimentale, le Mexicain Murcof s’empare ainsi avec brio de La Jeune Fille et la Mort de Schubert, ainsi que du Lamento della Ninfa de Monteverdi, leur conférant une aura à la fois moderniste, sombre et spirituelle. Para One, nouvelle figure de l’électro française, se saisit d’un fragment du Requiem de Mozart, de l’allegretto de la Septième Symphonie de Beethoven, ou encore de la Passion selon saint Jean de Bach, dans une veine plus fringante, ardente et lumineuse. Quant au producteur et musicien Marc Collin, il apporte son sens de l’ornementation pop à La Traviata de Verdi ou aux Indes galantes de Rameau, avec la complicité de Paul et Louise. Enfin, nouvellement invitée à rejoindre ce projet d’Iko, Rosemary Standley, du groupe Moriarty, vient enrichir cette palette vocale et sonore qui pare les classiques de nouvelles couleurs, toutes fraîches…