Concert
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Cité de la musique - Salle des concerts
•
Durée : environ
1h05
Programme
Distribution
Antonio Vivaldi
Les Quatre Saisons
Astor Piazzolla
Les Quatre Saisons de Buenos Aires
(extrait) Verano Porteno
Benjamin Britten
Variations on a Theme of Franck Bridge (extrait)
bis
Astor Piazzolla
Les Quatre Saisons de Buenos Aires
(extrait) Verano Porteno
bis
Les Dissonances
David Grimal
, violon, direction
À ceux qui croiraient connaître les célèbres Quatre Saisons de Vivaldi, l’ensemble Les Dissonances propose de les réentendre autrement, en les faisant dialoguer avec celles du grand compositeur de tango, Astor Piazzolla.
Le cycle des saisons, dont la musique traduit les rythmes climatiques, passe ainsi d’un continent à un autre. Et, à Buenos Aires, la pastorale baroque devient une danse urbaine.
Les concertos de Vivaldi connus sous le titre Les Quatre saisons ouvrent le recueil que le compositeur fit paraître à Amsterdam en 1725, Il Cimento dell’armonia e dell’invenzione. Chacun de ces quatre concertos est consacré à l’évocation d’une saison, décrite en tête de la partition dans un sonnet. La musique, avec des trésors d’ingéniosité, mime ou peint ce que les mots et les vers disent : le berger endormi, le chien qui aboie, les éclairs et le tonnerre, la pluie battante…
En l’absence de prétexte littéraire, mais de manière tout aussi évocatrice, Astor Piazzolla a écrit ses Cuatro Estaciones Porteñas pour son quintette, sans les concevoir d’emblée comme une suite. L’Été, qui date de 1964, fut d’abord composé pour un ballet ; s’y ajoutèrent peu à peu L’Automne (1969), puis L’Hiver et Le Printemps (1970), pour former un véritable cycle.
Le cycle des saisons, dont la musique traduit les rythmes climatiques, passe ainsi d’un continent à un autre. Et, à Buenos Aires, la pastorale baroque devient une danse urbaine.
Les concertos de Vivaldi connus sous le titre Les Quatre saisons ouvrent le recueil que le compositeur fit paraître à Amsterdam en 1725, Il Cimento dell’armonia e dell’invenzione. Chacun de ces quatre concertos est consacré à l’évocation d’une saison, décrite en tête de la partition dans un sonnet. La musique, avec des trésors d’ingéniosité, mime ou peint ce que les mots et les vers disent : le berger endormi, le chien qui aboie, les éclairs et le tonnerre, la pluie battante…
En l’absence de prétexte littéraire, mais de manière tout aussi évocatrice, Astor Piazzolla a écrit ses Cuatro Estaciones Porteñas pour son quintette, sans les concevoir d’emblée comme une suite. L’Été, qui date de 1964, fut d’abord composé pour un ballet ; s’y ajoutèrent peu à peu L’Automne (1969), puis L’Hiver et Le Printemps (1970), pour former un véritable cycle.
Coproduction Cité de la musique, Les Dissonances.