Concert
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Cité de la musique - Salle des concerts
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Durée : environ
1h45
dont 1 entracte
Programme
Distribution
Gustav Mahler
Frühlingsmorgen
Erinnerung
Rheinlegendchen
Robert Schumann
Dichterliebe, op.48
Entracte
Johannes Brahms
Fantaisies pour piano op. 116
Hugo Wolf
Fussreise
Nimmersatte Liebe
Begegnung
Das verlassene Mägdlein
Auf ein altes Bild
Verborgenheit
Der Rattenfänger
Bis
Reynaldo Hahn
A Chloris
Poème de Théophile de Viau
Nathalie Stutzmann
, contralto
Inger Södergren
, piano
À un journaliste qui s’étonnait de la voir chanter le répertoire germanique en Allemagne, Nathalie Stutzmann répondait : « … avec mon nom, une bonne partie du public ne sait tout simplement pas que je suis française en entrant dans la salle… et ne paraît pas trop s’en être rendu compte en sortant, ce qui me rassure quant à mon accent ! » (Diapason, avril 2007)
Mais bien sûr, quand elle chante Schumann, Wolf ou Mahler, ce n’est pas une question de patronyme, ni simplement de prononciation. Comme pour tout ce qu’elle entreprend, c’est un long travail de compréhension de l’écriture, d’approfondissement des textes, de maîtrise technique. Avec aussi des temps d’arrêt, de contemplation : « Même l’ennui m’est nécessaire, confie-t-elle, car notre société impose un rythme qui ne permet plus aux idées d’advenir… »
Mais bien sûr, quand elle chante Schumann, Wolf ou Mahler, ce n’est pas une question de patronyme, ni simplement de prononciation. Comme pour tout ce qu’elle entreprend, c’est un long travail de compréhension de l’écriture, d’approfondissement des textes, de maîtrise technique. Avec aussi des temps d’arrêt, de contemplation : « Même l’ennui m’est nécessaire, confie-t-elle, car notre société impose un rythme qui ne permet plus aux idées d’advenir… »