Concert
•
adulte
•
Cité de la musique - Amphithéâtre
•
Durée : environ
1h40
dont 1 entracte
Programme
Distribution
Première partie
No Bra
, voix, laptop
Entracte
Seconde Partie
Cindytalk
, voix, électronique, piano
invité spécial
,
Robert Hampson
, guitare
Première partie
« Entre la performance, la musique et les questions de genre, sans soutien-gorge, mais avec la moustache, elle se produit quasiment nue, vêtue d’une minijupe rose riquiqui. Immense et longiligne, elle psalmodie, impassible, des dialogues fictifs, absurdes et hilarants […] sur fond de déflagrations électroniques. » C’est ainsi que Les Inrockuptibles décrivaient Susan Oberbeck, alias No Bra (littéralement : sans soutien-gorge), lors de l’un de ses passages à Paris en 2007. La jeune artiste expérimentale allemande, installée à
New York, fait tout pour déjouer le carcan de l’identité sexuelle.
Seconde partie
Cindytalk est né en 1982 des cendres du groupe punk new wave The Freeze. Gordon Sharp, qui porte le nom et le projet du groupe sur les cinq continents de l’électronique, se produit seul pour son premier passage à Paris. Sa performance – des plages sonores « sculptées en une série d’atmosphères », dit-il, dans lesquelles se glisse sa voix improvisée et du piano – s’inscrit dans le sillage d’un album récent : Transgender Warrior (« Guerrier transgenre »), album publié par le label autrichien Mego.
« Entre la performance, la musique et les questions de genre, sans soutien-gorge, mais avec la moustache, elle se produit quasiment nue, vêtue d’une minijupe rose riquiqui. Immense et longiligne, elle psalmodie, impassible, des dialogues fictifs, absurdes et hilarants […] sur fond de déflagrations électroniques. » C’est ainsi que Les Inrockuptibles décrivaient Susan Oberbeck, alias No Bra (littéralement : sans soutien-gorge), lors de l’un de ses passages à Paris en 2007. La jeune artiste expérimentale allemande, installée à
New York, fait tout pour déjouer le carcan de l’identité sexuelle.
Seconde partie
Cindytalk est né en 1982 des cendres du groupe punk new wave The Freeze. Gordon Sharp, qui porte le nom et le projet du groupe sur les cinq continents de l’électronique, se produit seul pour son premier passage à Paris. Sa performance – des plages sonores « sculptées en une série d’atmosphères », dit-il, dans lesquelles se glisse sa voix improvisée et du piano – s’inscrit dans le sillage d’un album récent : Transgender Warrior (« Guerrier transgenre »), album publié par le label autrichien Mego.