Concert
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Cité de la musique - Salle des concerts
•
Durée : environ
2h00
Programme
Distribution
Henry Purcell
King Arthur
Livret de John Dryden (version de concert)
New London Consort
Philip Pickett
, direction
Oliver Cotton
, comédien, Merlin
Joanne Lunn
, soprano, La Prêtresse, Cupidon, Venus
Faye Newton
, soprano, Une Bergère, Un Esprit, Une Femme, Une Sirène
Anna Denis
, soprano, Philidel, Une Femme, La Néreide
Penelope Appleyard
, soprano, Une Bergère, Une Sirène
Adriana Festeu
, mezzo-soprano, Une Prêtresse, Une Femme
Tim Travers Brown
, contre-ténor, Un Esprit, Un Homme
Joseph Cornwell
, ténor, Un Guerrier, Comus
Andrew King
, ténor, Un Guerrier, Un Esprit, Un Homme
Nicholas Hurndall Smith
, ténor, Un Esprit, Un Berger
Benjamin Bevan
, baryton, Un Prêtre, Grimbald, Un Homme
Michael George
, baryton-basse, Un Prêtre, L'Esprit du Froid, Pan
Simon Grant
, baryton-basse, Un Esprit, Eole
Ace McCarron
, lumières
Créé au Queen’s Theatre de Londres en 1691, King Arthur est un semi-opéra anglais en cinq actes. Le livret du poète John Dryden raconte les efforts d’Arthur, assisté par Merlin l’enchanteur, pour libérer sa bien aimée Emmeline des griffes d’Oswald, roi des Saxons, et du diabolique mage Osmond.
La plus célèbre scène de King Arthur est celle du gel, au troisième acte. Emmeline vient de recouvrer la vue grâce à l’intervention d’un esprit et Oswald fait montre de ses pouvoirs magiques en lui donnant à voir la perspective de l’hiver dans des paysages glacés. C’est alors que le Génie du froid entonne son air, What power art thou, remarquable pour son chromatisme aux interruptions grelottantes. Plus que jamais la musique a ici le pouvoir d’évoquer les métamorphoses dûes aux forces magiques.
La plus célèbre scène de King Arthur est celle du gel, au troisième acte. Emmeline vient de recouvrer la vue grâce à l’intervention d’un esprit et Oswald fait montre de ses pouvoirs magiques en lui donnant à voir la perspective de l’hiver dans des paysages glacés. C’est alors que le Génie du froid entonne son air, What power art thou, remarquable pour son chromatisme aux interruptions grelottantes. Plus que jamais la musique a ici le pouvoir d’évoquer les métamorphoses dûes aux forces magiques.
