Concert
•
adulte
•
Salle Pleyel
•
Durée : environ
1h50
dont 1 entracte
Programme
Distribution
Otto Nicolai
Les Joyeuses Commères de Windsor
Ouverture
Richard Strauss
Don Quichotte
poème symphonique avec violoncelle principal, op. 35
Entracte
Antonín Dvořák
Symphonie n°8
en sol majeur, op. 88
Orchestre de Paris
Manfred Honeck
, direction
Truls Mørk
, violoncelle
Ce n’est pas un jour de Nouvel An et pourtant cette musique a comme un quelque chose...
L’ouverture de l’opéra Les Joyeuses Commères de Windsor lance en effet régulièrement le concert de l’Orchestre Philharmonique de Vienne. Elle a bonne humeur, elle passe du petit matin calme aux bousculades de la comédie. Et si Otto Nicolai fut l’un des fondateurs de ce prestigieux orchestre, le chef d’orchestre Manfred Honeck, qui vient diriger pour la première fois l’Orchestre de Paris, en fut pendant 10 ans l’un des violonistes.
Le Don Quichotte de Richard Strauss fut régulièrement au programme de l’Orchestre de Paris, offrant alternativement l’occasion d’inviter un grand interprète (Karajan fit venir Rostropovitch) ou de faire entendre un de ses violoncelles solos de l’orchestre (la dernière fois que l’œuvre fut donnée, en 2004, Christoph Eschenbach avait Éric Picard à ses côtés). Le violoncelle y joue Don Quichotte et l’alto solo représente Sancho. La partition est à la mesure des aventures imaginées par Cervantès.
Avec ce Don Quichotte, Manfred Honeck complète le large panorama des poèmes symphoniques de Richard Strauss donnés cette saison, à côté d’Herbert Blomstedt et d’Andris Nelsons. Son programme, d’esprit très ludique, prend ensuite très judicieusement la route de Prague – il y est principal chef invité de la Philharmonie Tchèque – avec la Huitième Symphonie de Dvorák, énergique, fluide, toute entière sous l’influence d’un sol majeur bienveillant.
L’ouverture de l’opéra Les Joyeuses Commères de Windsor lance en effet régulièrement le concert de l’Orchestre Philharmonique de Vienne. Elle a bonne humeur, elle passe du petit matin calme aux bousculades de la comédie. Et si Otto Nicolai fut l’un des fondateurs de ce prestigieux orchestre, le chef d’orchestre Manfred Honeck, qui vient diriger pour la première fois l’Orchestre de Paris, en fut pendant 10 ans l’un des violonistes.
Le Don Quichotte de Richard Strauss fut régulièrement au programme de l’Orchestre de Paris, offrant alternativement l’occasion d’inviter un grand interprète (Karajan fit venir Rostropovitch) ou de faire entendre un de ses violoncelles solos de l’orchestre (la dernière fois que l’œuvre fut donnée, en 2004, Christoph Eschenbach avait Éric Picard à ses côtés). Le violoncelle y joue Don Quichotte et l’alto solo représente Sancho. La partition est à la mesure des aventures imaginées par Cervantès.
Avec ce Don Quichotte, Manfred Honeck complète le large panorama des poèmes symphoniques de Richard Strauss donnés cette saison, à côté d’Herbert Blomstedt et d’Andris Nelsons. Son programme, d’esprit très ludique, prend ensuite très judicieusement la route de Prague – il y est principal chef invité de la Philharmonie Tchèque – avec la Huitième Symphonie de Dvorák, énergique, fluide, toute entière sous l’influence d’un sol majeur bienveillant.
Avec un prélude au concert le mercredi 21 mars à 18h dans le cadre de l'Académie de l'Orchestre de Paris (entrée libre, programme de musique de chambre).