Concert
•
adulte
•
Salle Pleyel
•
Durée : environ
2h00
dont 1 entracte
Programme
Distribution
Wolfgang Amadeus Mozart
Ouverture
(Le Nozze di Figaro)
Giunse al fin il momento
(Le Nozze di Figaro)
Giuseppe Verdi
Parigi o caro
(La Traviata)
Gaetano Donizetti
Una furtiva lagrima
(L'Elisir d'amore)
Gioacchino Rossini
Ouverture
(Il Barbiere di Siviglia)
Gaspare Spontini
O nume tutelar
(La Vestale)
Gaetano Donizetti
Caro elisir
(L'Elisir d'amore)
Entracte
Georges Bizet
Entr'acte
(Carmen)
Léo Delibes
Tu ne savais pas / C'est le Dieu
(Lakmé)
Jules Massenet
Vive amour qui rêve
(Cherubin)
Giacomo Puccini
Che gelida manina
(La Bohème)
Pietro Mascagni
Intermezzo
(Cavalleria rusticana)
Giuseppe Verdi
Tu che la vanità
(Don Carlo)
Giacomo Puccini
O soave fanciulla
(La Bohème)
Angela Gheorghiu
, soprano
Stefan Pop
, ténor
Orchestre National d'Île-de-France
Tiberiu Soare
, direction
Nous avons le regret de vous annoncer que, pour des raisons de santé, Angela Gheorghiu annule ce récital du vendredi 4 mai.
A l'heure actuelle, aucune date de report n'est envisageable ; mais si une date de report s'avérait possible, nous reprendrions contact avec vous ultérieurement.
Diva sinon rien ! Angela Gheorghiu assume et même cultive un qualificatif devenu péjoratif. Mais à quoi reconnaît-on une diva ? À ses caprices, ses parures, les théâtres triés sur le volet dans lesquels elle se produit dans une poignée d’ouvrages où tous ceux qui l’entourent ne sont que faire-valoir ? Une Castafiore en somme. Non, une diva, c’est d’abord une artiste au rayonnement hors du commun, au souffle intarissable et à la voix d’or et miel, capable de captiver son public avant même d’avoir émis le moindre son. Le 4 novembre 2006 à la Salle Pleyel, la magie opérait. Et lorsque, durant l’ultime bis, le courant s’éteignit, la soprano roumaine seule illuminait l’auditoire. Puisse le miracle se reproduire.
A l'heure actuelle, aucune date de report n'est envisageable ; mais si une date de report s'avérait possible, nous reprendrions contact avec vous ultérieurement.
Diva sinon rien ! Angela Gheorghiu assume et même cultive un qualificatif devenu péjoratif. Mais à quoi reconnaît-on une diva ? À ses caprices, ses parures, les théâtres triés sur le volet dans lesquels elle se produit dans une poignée d’ouvrages où tous ceux qui l’entourent ne sont que faire-valoir ? Une Castafiore en somme. Non, une diva, c’est d’abord une artiste au rayonnement hors du commun, au souffle intarissable et à la voix d’or et miel, capable de captiver son public avant même d’avoir émis le moindre son. Le 4 novembre 2006 à la Salle Pleyel, la magie opérait. Et lorsque, durant l’ultime bis, le courant s’éteignit, la soprano roumaine seule illuminait l’auditoire. Puisse le miracle se reproduire.
Coproduction Céleste Productions - Les Grandes Voix, Salle Pleyel.