Concert
•
adulte
•
Salle Pleyel
•
Durée : environ
2h05
dont 1 entracte
Programme
Distribution
Jacques Ibert
Divertimento
Serge Rachmaninoff
Rhapsodie sur un thème de Paganini, op.43
Entracte
Giuseppe Verdi
Choeurs extraits de Nabucco, Aïda, Le Trouvère, Macbeth...
Orchestre de Paris
Chœur de l'Orchestre de Paris
Yutaka Sado
, direction
Boris Berezovsky
, piano
Lionel Sow
, chef de chœur
A la demande de Boris Berezovsky, et en accord avec le chef, le Concerto pour piano de Lalo sera remplacé par la Rhapsodie sur un thème de Paganini de Rachmaninov.
Le reste du programme est inchangé.
Merci de votre compréhension.
Dans ce programme concocté par le chef Yutaka Sado, on trouve d’un côté les raretés, de l’autre les tubes. Rien de plus réjouissant. Jacques Ibert était de ces musiciens qui composent avec une aisance heureuse, respirant l’air du temps. Un temps improvisateur de cinéma, versé dans la chanson – Prix de Rome aussi –, il écrivit en 1929 une musique de scène pour Un Chapeau de Paille en Italie, la comédie d’Eugène Labiche. Il en tira cette suite pour orchestre à la verve baladeuse, une parade pour les solistes de l’orchestre – un petit effectif virtuose donc –, bref une pièce qui porte bien son nom.
Et qui connaît l’existence du concerto pour piano de Lalo ? L’orchestre de Paris ne l’a jamais interprété, son concerto pour violon, la fameuse Symphonie espagnole, éclipse en réputation tout le reste du catalogue de Lalo. Boris Berezovsky lui-même ignorait qu’il existât. Mais, une fois la partition sous les yeux, il n’avait plus qu’une envie : le jouer ! Il faut un interprète comme lui, car le piano, jamais seul, doit constamment couronner l’orchestre. Une œuvre à découvrir absolument.
La deuxième partie du concert, elle, ne sera qu’impressions bien connues : les plus grands chœurs des opéras de Verdi ! Le Chœur de l’Orchestre de Paris a souvent donné son Requiem et aussi –avec Yutaka Sado déjà – la Missa di Gloria de Puccini : son grand effectif vocal saura rendre à merveille ce répertoire lyrique.
Le reste du programme est inchangé.
Merci de votre compréhension.
Dans ce programme concocté par le chef Yutaka Sado, on trouve d’un côté les raretés, de l’autre les tubes. Rien de plus réjouissant. Jacques Ibert était de ces musiciens qui composent avec une aisance heureuse, respirant l’air du temps. Un temps improvisateur de cinéma, versé dans la chanson – Prix de Rome aussi –, il écrivit en 1929 une musique de scène pour Un Chapeau de Paille en Italie, la comédie d’Eugène Labiche. Il en tira cette suite pour orchestre à la verve baladeuse, une parade pour les solistes de l’orchestre – un petit effectif virtuose donc –, bref une pièce qui porte bien son nom.
Et qui connaît l’existence du concerto pour piano de Lalo ? L’orchestre de Paris ne l’a jamais interprété, son concerto pour violon, la fameuse Symphonie espagnole, éclipse en réputation tout le reste du catalogue de Lalo. Boris Berezovsky lui-même ignorait qu’il existât. Mais, une fois la partition sous les yeux, il n’avait plus qu’une envie : le jouer ! Il faut un interprète comme lui, car le piano, jamais seul, doit constamment couronner l’orchestre. Une œuvre à découvrir absolument.
La deuxième partie du concert, elle, ne sera qu’impressions bien connues : les plus grands chœurs des opéras de Verdi ! Le Chœur de l’Orchestre de Paris a souvent donné son Requiem et aussi –avec Yutaka Sado déjà – la Missa di Gloria de Puccini : son grand effectif vocal saura rendre à merveille ce répertoire lyrique.