Concert
•
Salle Pleyel
•
Durée : environ
2h05
dont 1 entracte
Programme
Distribution
Johannes Brahms
Nänie
pour choeur et orchestre
Gesang der Parzen
pour choeur et orchestre
Schicksalslied
pour choeur et orchestre
Entracte
Symphonie n° 2
Orchestre de Paris
Chœur de l'Orchestre de Paris
Herbert Blomstedt
, direction
Lionel Sow
, chef de chœur
Depuis 2010, Herbert Blomstedt est invité chaque saison de l’Orchestre de Paris. C’est cependant la première fois que ce grand chef romantique, maître de Bruckner et de Strauss, dirige Brahms à Paris. C’est la première fois également qu’il mène le Chœur de l’Orchestre de Paris.
Au programme, les magnifiques pages chorales inspirées par les grands poètes allemands Goethe, Hölderlin et Schiller. Lyrisme débordant, éloquence puissante, le public est face à l’imposant effectif vocal que Brahms sollicite pour évoquer - et dominer - le destin de l’homme voué à mourir. De ces pièces de concert, il fait de véritables méditations.
Sa Deuxième Symphonie résonnera de ces mots et prendra derrière eux une dimension toute différente : une perspective métaphysique profonde, révélant la vision humaniste du musicien Herbert Blomstedt.
Brahms traversera par ailleurs toute cette saison : la Quatrième Symphonie dirigée par Christoph Eschenbach en février, les deux Concertos pour piano avec Nicholas Angelich en avril et le directeur musical Paavo Järvi, qui conclut cette perspective avec Un requiem allemand, cette œuvre qui attira l’attention de l’Europe entière sur Brahms.
Au programme, les magnifiques pages chorales inspirées par les grands poètes allemands Goethe, Hölderlin et Schiller. Lyrisme débordant, éloquence puissante, le public est face à l’imposant effectif vocal que Brahms sollicite pour évoquer - et dominer - le destin de l’homme voué à mourir. De ces pièces de concert, il fait de véritables méditations.
Sa Deuxième Symphonie résonnera de ces mots et prendra derrière eux une dimension toute différente : une perspective métaphysique profonde, révélant la vision humaniste du musicien Herbert Blomstedt.
Brahms traversera par ailleurs toute cette saison : la Quatrième Symphonie dirigée par Christoph Eschenbach en février, les deux Concertos pour piano avec Nicholas Angelich en avril et le directeur musical Paavo Järvi, qui conclut cette perspective avec Un requiem allemand, cette œuvre qui attira l’attention de l’Europe entière sur Brahms.