Concert
•
Salle Pleyel
•
Durée : environ
2h00
dont 1 entracte
Programme
1ere partie
Entracte
2eme partie
CHILLY GONZALES
& Chamber Orchestra
Caméléon, extra-terrestre, dandy, inclassable… Chilly Gonzales accumule les étiquettes qui font de lui l’un des artistes les plus insaisissables de ces dernières années. Classique ou électro, hip-hop ou pop, pour lui ou pour les autres (Feist, Drake, Katerine, Daft Punk), le showman canadien transforme en or tout ce qu’il touche. Mais derrière ce qui pourrait n’être qu’extravagance un brin mégalo, Gonzales s’impose comme musicien véritablement démentiel, pianiste brillant et arrangeur doué. Ses albums de piano solo comme son record du monde du plus long concert (27 heures, 3 minutes et 44 secondes !) n’ont fait qu’élargir la palette de ses dons. C’est entouré d’une formation chambriste composée d’une dizaine de musiciens qu’il aborde son concert dans le cadre du festival Days Off. Aux côtés de ces cuivres et de ces bois, Gonzales revisite son propre répertoire et certains classiques pop inattendus. Et comme l’animal est avant tout un entertainer cinq étoiles, son humour comme ses anecdotes s’invitent aussi à cette soirée vraiment pas comme les autres…
Première partie : SERAFINA STEER
Harpe aux poings, Serafina Steer serait-elle la cousine britannique de Joanna Newson ? Pas vraiment… Plus chambriste et sans doute plus humble que son homologue californienne, la Londonienne a façonné son univers intime et délicat au fil de ses trois albums, Cheap Demo Bad Science, Change Is Good et The Moths Are Real. Produit par Jarvis Cocker, ce dernier voit même la harpiste laisser couler quelques étonnantes gouttelettes d’électro sur son folk féérique et onirique. Cette sensation folk typiquement britannique vient finalement davantage de sa voix que des motifs que Serafina Steer ciselle avec son instrument de prédilection. Et lorsqu’elle s’abandonne à des beats hypnotiques, elle ne vend jamais son âme au diable. Une musique originale d’une rare beauté.
& Chamber Orchestra
Caméléon, extra-terrestre, dandy, inclassable… Chilly Gonzales accumule les étiquettes qui font de lui l’un des artistes les plus insaisissables de ces dernières années. Classique ou électro, hip-hop ou pop, pour lui ou pour les autres (Feist, Drake, Katerine, Daft Punk), le showman canadien transforme en or tout ce qu’il touche. Mais derrière ce qui pourrait n’être qu’extravagance un brin mégalo, Gonzales s’impose comme musicien véritablement démentiel, pianiste brillant et arrangeur doué. Ses albums de piano solo comme son record du monde du plus long concert (27 heures, 3 minutes et 44 secondes !) n’ont fait qu’élargir la palette de ses dons. C’est entouré d’une formation chambriste composée d’une dizaine de musiciens qu’il aborde son concert dans le cadre du festival Days Off. Aux côtés de ces cuivres et de ces bois, Gonzales revisite son propre répertoire et certains classiques pop inattendus. Et comme l’animal est avant tout un entertainer cinq étoiles, son humour comme ses anecdotes s’invitent aussi à cette soirée vraiment pas comme les autres…
Première partie : SERAFINA STEER
Harpe aux poings, Serafina Steer serait-elle la cousine britannique de Joanna Newson ? Pas vraiment… Plus chambriste et sans doute plus humble que son homologue californienne, la Londonienne a façonné son univers intime et délicat au fil de ses trois albums, Cheap Demo Bad Science, Change Is Good et The Moths Are Real. Produit par Jarvis Cocker, ce dernier voit même la harpiste laisser couler quelques étonnantes gouttelettes d’électro sur son folk féérique et onirique. Cette sensation folk typiquement britannique vient finalement davantage de sa voix que des motifs que Serafina Steer ciselle avec son instrument de prédilection. Et lorsqu’elle s’abandonne à des beats hypnotiques, elle ne vend jamais son âme au diable. Une musique originale d’une rare beauté.