Concert
Stockhausen / Inori
Orchestra of the Lucerne Festival Academy - Gergely Madaras
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- Navettes gratuites
Vendredi 14 septembre 2018 — 20h30
Programme
Karlheinz Stockhausen
Inori - Adoration pour deux solistes danseurs et grand orchestre
Distribution
- Orchestra of the Lucerne Festival Academy
- Gergely Madaras, direction
- Emmanuelle Grach, danse
- Jamil Attar, danse
Dans le prophétique Inori, Stockhausen, plus démiurge que jamais, mêle au grand orchestre un soliste danseur. Chaque mouvement se déroule parallèlement à une couleur de son, un rythme, une intensité de la musique.
Karlheinz Stockhausen considérait Inori (« adoration » en japonais), créé en 1974, comme une de ses partitions les plus riches d’avenir : « Dans quelques années, Inori sera l’œuvre clé d’un nouveau développement de la composition des tempi et d’une nouvelle fonction des timbres ». Autour d’une cellule de base comprenant 13 hauteurs de son différentes, gravitent 13 tempi, 13 intensités, 13 timbres et 13 gestes de prière. Un soliste mime ces attitudes de prière du haut d’un podium situé au-dessus de l’orchestre. À ses détracteurs, le compositeur allemand répondait : « Ceux qui ont vu dans Inori une œuvre répétitive et simpliste ne savent pas écouter la polyphonie. Inori est polyphonique dès le début. Certains y ont entendu des accords : il n’y en a pas, il y a un seul son. »
Karlheinz Stockhausen considérait Inori (« adoration » en japonais), créé en 1974, comme une de ses partitions les plus riches d’avenir : « Dans quelques années, Inori sera l’œuvre clé d’un nouveau développement de la composition des tempi et d’une nouvelle fonction des timbres ». Autour d’une cellule de base comprenant 13 hauteurs de son différentes, gravitent 13 tempi, 13 intensités, 13 timbres et 13 gestes de prière. Un soliste mime ces attitudes de prière du haut d’un podium situé au-dessus de l’orchestre. À ses détracteurs, le compositeur allemand répondait : « Ceux qui ont vu dans Inori une œuvre répétitive et simpliste ne savent pas écouter la polyphonie. Inori est polyphonique dès le début. Certains y ont entendu des accords : il n’y en a pas, il y a un seul son. »
Coproduction Festival d’Automne à Paris, Philharmonie de Paris
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Clé d'écoute
Inori de Stockhausen
Écouter et regarder
Karlheinz Stockhausen : Inori - Ensemble intercontemporain, Wolfgang Lischke (direction)