Concert
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Salle des concerts - Cité de la musique
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Durée : environ
2h40
dont 2 entractes
Programme
Distribution
Luigi Nono
...sofferte onde serene..., pour piano et bande
Olga Neuwirth
Aello - Ballet mécanomorphe, pour flûte, deux trompettes avec sourdines, ensemble de cordes, clavier et machine à écrire (création française)
Hooloomooloo, pour ensemble en trois groupes et CD
Entracte
Ramon Lazkano
Ziaboga, pour ensemble (commande de l'Ensemble intercontemporain, création)
Entracte
Olga Neuwirth
Hommage à Klaus Nomi, pour contre-ténor et petit ensemble (extraits)
Ensemble intercontemporain
Matthias Pintscher
, direction
Andrew Watts
, contre-ténor
Sophie Cherrier
, flûte
Hidéki Nagano
, piano
Pour ce Grand Soir que lui consacre l’Ensemble intercontemporain, la compositrice autrichienne Olga Neuwirth est confrontée à l’univers de Luigi Nono, son modèle de toujours, et du Basque Ramon Lazkano.
Figure de proue de la scène musicale viennoise, Olga Neuwirth n’est pas une simple compositrice. C’est une créatrice multiforme, qui n’aime rien tant que renouveler sa manière de composer en transposant à l’écriture musicale des techniques propres à d’autres disciplines, artistiques ou non. Passionnée de cinéma, elle y trouve nombre de ses outils formels : du montage au traveling, en passant par le zoom et le champ/contrechamp. Mais son réservoir d’inspiration couvre également les arts visuels (Hooloomooloo trouve sa source dans un triptyque de Franck Stella), la culture underground (comme le « vampire surhumain » Klaus Nomi, icône de la scène new wave dans les années 1980). Pour Aello – Ballet mécanomorphe, que les solistes de l’EIC donneront en création française, c’est la rencontre inattendue entre la mythologie grecque (Aello est le nom d’une harpie) et l’univers des machines.
Figure de proue de la scène musicale viennoise, Olga Neuwirth n’est pas une simple compositrice. C’est une créatrice multiforme, qui n’aime rien tant que renouveler sa manière de composer en transposant à l’écriture musicale des techniques propres à d’autres disciplines, artistiques ou non. Passionnée de cinéma, elle y trouve nombre de ses outils formels : du montage au traveling, en passant par le zoom et le champ/contrechamp. Mais son réservoir d’inspiration couvre également les arts visuels (Hooloomooloo trouve sa source dans un triptyque de Franck Stella), la culture underground (comme le « vampire surhumain » Klaus Nomi, icône de la scène new wave dans les années 1980). Pour Aello – Ballet mécanomorphe, que les solistes de l’EIC donneront en création française, c’est la rencontre inattendue entre la mythologie grecque (Aello est le nom d’une harpie) et l’univers des machines.
Coproduction Ensemble Intercontemporain, Philharmonie de Paris
Salle des concerts - Cité de la musique
Découvrir la salleComment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris
Pour repartir après ce concert
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