Concert
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Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
•
Durée : environ
1h44
dont 1 entracte
Programme
Distribution
Dmitri Chostakovitch
Concerto pour violon n° 1
Entracte
Jean Sibelius
Symphonie n° 5
Orchestre de Paris
Jukka-Pekka Saraste
, direction
Leonidas Kavakos
, violon
Dans ce dialogue entre Chostakovitch et Sibelius, deux maîtres du xxe siècle, Leonidas Kavakos et Jukka-Pekka Saraste explorent la misère et la grandeur de l’âme humaine.
Le plus développé de tous les concertos de Chostakovitch, le premier qu’il consacra au violon, ne fut créé qu’en 1955, sept ans après sa composition, par David Oïstrakh qui pensait que le Scherzo contenait « quelque chose de maléfique, de démoniaque et d’épineux ». Chostakovitch ne le désavouerait pas, lui qui fut obligé de faire son autocritique : comme il l’écrivit dans une lettre, après avoir fait des « déclarations viles et honteuses », il rentra prestement chez lui « composer le troisième mouvement du Concerto pour violon », une impressionnante Passacaille. La Cinquième Symphonie de Sibelius, une de ses plus appréciées, nécessita cinq ans de labeur au compositeur finlandais. Elle brille d’un éclat irrésistible et exhale plutôt des sentiments de noblesse. La nature y est partout : des cygnes lui inspirèrent ainsi le thème d’un irrésistible rayonnement, d’abord dévolu aux cors, du Finale.
Le plus développé de tous les concertos de Chostakovitch, le premier qu’il consacra au violon, ne fut créé qu’en 1955, sept ans après sa composition, par David Oïstrakh qui pensait que le Scherzo contenait « quelque chose de maléfique, de démoniaque et d’épineux ». Chostakovitch ne le désavouerait pas, lui qui fut obligé de faire son autocritique : comme il l’écrivit dans une lettre, après avoir fait des « déclarations viles et honteuses », il rentra prestement chez lui « composer le troisième mouvement du Concerto pour violon », une impressionnante Passacaille. La Cinquième Symphonie de Sibelius, une de ses plus appréciées, nécessita cinq ans de labeur au compositeur finlandais. Elle brille d’un éclat irrésistible et exhale plutôt des sentiments de noblesse. La nature y est partout : des cygnes lui inspirèrent ainsi le thème d’un irrésistible rayonnement, d’abord dévolu aux cors, du Finale.

Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
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Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris
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