Concert
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Cité de la musique - Amphithéâtre
Programme
Distribution
Johann Sebastian Bach
Concerto pour trois clavecins en do majeur BWV 1064
Allegro - Adagio - Allegro
Concerto pour deux clavecins en do mineur BWV 1060
Allegro - Largo - Allegro
Concerto pour trois clavecins en ré mineur BWV 1063
(Sans indication de tempo) - Alla Siciliana - Allegro
Entracte
Antonio Vivaldi / Ton Koopman
Concerto pour quatre clavecins en fa majeur d'après le Concerto pour quatre violons en fa majeur op. 3 n°7 RV 567
Andante
Adagio
Allegro-Adagio
Allegro
Johann Sebastian Bach
Concerto pour deux clavecins en ut mineur BWV 1062
(...) - Andante - Allegro assai
Johann Sebastian Bach / Antonio Vivaldi
Concerto pour quatre clavecins en la mineur BWV 1065
d'après le Concerto pour quatre violons et cordes en si mineur op.3 n°10 RV 580, sans indication de tempo - Largo - Allegro
Ton Koopman
, clavecin, direction
Tini Mathot
, clavecin
Patrizia Marisaldi
, clavecin
Pietro Paganini
, clavecin
Catherine Manson
, violon
David Rabinovich
, violon
Jane Rogers
, alto
Jonathan Manson
, violoncelle
Michele Zeoli
, contrebasse
Ton Koopman a une imposante discographie de claveciniste à son actif : de Bach à Poulenc, en passant par Mozart ou Scarlatti.
Lorsqu’il interprète les concertos pour deux et trois clavecins de Bach, en dirigeant depuis son clavier, on peut songer à cette description que donnait de Bach lui-même l’un de ses contemporains : « Seul au milieu des passages les plus bruyants de la musique et bien qu’il tienne lui-même la partie la plus diffi cile, il remarque immédiatement que, quelque part, quelque chose n’est pas joué comme il le veut ; il ressent le rythme dans tous ses membres, examinant toutes les harmonies d’une oreille précise, faisant entendre de sa seule voix toutes les autres… »
Ton Koopman, qui fut l’élève de Gustav Leonhardt au clavecin, concède volontiers que, « en fait, l'instrument est votre maître, il vous indique comment rendre la musique qui lui correspond ».
Lorsqu’il interprète les concertos pour deux et trois clavecins de Bach, en dirigeant depuis son clavier, on peut songer à cette description que donnait de Bach lui-même l’un de ses contemporains : « Seul au milieu des passages les plus bruyants de la musique et bien qu’il tienne lui-même la partie la plus diffi cile, il remarque immédiatement que, quelque part, quelque chose n’est pas joué comme il le veut ; il ressent le rythme dans tous ses membres, examinant toutes les harmonies d’une oreille précise, faisant entendre de sa seule voix toutes les autres… »
Ton Koopman, qui fut l’élève de Gustav Leonhardt au clavecin, concède volontiers que, « en fait, l'instrument est votre maître, il vous indique comment rendre la musique qui lui correspond ».