Musique de chambre
Trio Renaud Capuçon / Gautier Capuçon / Frank Braley
Beethoven, Schubert
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- Taxi G7
Mardi 22 septembre 2020 — 20h30
Programme
Ludwig van Beethoven
Trio n° 7 op. 97 "À l'Archiduc"
Franz Schubert
Trio n° 2 op. 100
Distribution
- Renaud Capuçon, violon
- Gautier Capuçon, violoncelle
- Frank Braley, piano
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Renaud Capuçon, Gautier Capuçon et Frank Braley forment depuis de nombreuses années un des trios les plus en vue de la scène internationale. Ils ont inscrit à leur programme deux sommets de la musique de chambre de Beethoven et Schubert.
Sans doute le plus célèbre des dix trios pour piano, violon et violoncelle de Beethoven, le Septième doit son surnom à l’Archiduc Rodolphe, mécène, élève (le compositeur lui enseignait le piano), ami et dédicataire d’autres partitions majeures, comme la Missa Solemnis et la Sonate « Hammerklavier ». L’œuvre fut créée en 1814 : ce fut la dernière apparition du compositeur en tant que pianiste. Grandeur, éclat poétique des variations du mouvement lent, brillance du finale : tout se conjugue pour en faire une partition exceptionnelle. Ce qu’on pourrait aussi dire du Deuxième Trio de Schubert, dont le cœur réside dans le thème étreignant de l’Andante. Ce dernier réapparaîtra dans le dernier mouvement, selon un principe cyclique plus tard abondamment employé par Liszt et Franck.
Renaud Capuçon, Gautier Capuçon et Frank Braley forment depuis de nombreuses années un des trios les plus en vue de la scène internationale. Ils ont inscrit à leur programme deux sommets de la musique de chambre de Beethoven et Schubert.
Sans doute le plus célèbre des dix trios pour piano, violon et violoncelle de Beethoven, le Septième doit son surnom à l’Archiduc Rodolphe, mécène, élève (le compositeur lui enseignait le piano), ami et dédicataire d’autres partitions majeures, comme la Missa Solemnis et la Sonate « Hammerklavier ». L’œuvre fut créée en 1814 : ce fut la dernière apparition du compositeur en tant que pianiste. Grandeur, éclat poétique des variations du mouvement lent, brillance du finale : tout se conjugue pour en faire une partition exceptionnelle. Ce qu’on pourrait aussi dire du Deuxième Trio de Schubert, dont le cœur réside dans le thème étreignant de l’Andante. Ce dernier réapparaîtra dans le dernier mouvement, selon un principe cyclique plus tard abondamment employé par Liszt et Franck.
Écouter et regarder
Franz Schubert : Trio pour piano et cordes no 2 en mi bémol majeur D. 929 op. 100 - Renaud Capuçon, violon, Gautier Capuçon, violoncelle, Frank Braley, piano