Musique de chambre
•
Salle des concerts - Cité de la musique
•
Durée : environ
1h10
Programme
Distribution
Ludwig van Beethoven
Quatuor à cordes n° 6
Quatuor à cordes n° 15
Quatuor Ébène
Pierre Colombet
, violon
Gabriel Le Magadure
, violon
Marie Chilemme
, alto
Raphaël Merlin
, violoncelle
Concert maintenu sans public et diffusé en live et en différé sur Philharmonie Live et Arte Concert.
INFORMATIONS COVID-19 : ANNULATIONS, MODIFICATIONS, REPORTS
2020 coïncide avec le vingtième anniversaire du Quatuor Ébène. Sensible au message beethovénien, celui-ci place cette intégrale sous le signe du partage.
Quatrième volet de l’intégrale des quatuors de Beethoven que le Quatuor Ébène donne à la Philharmonie de Paris, dans le prolongement de la parution de son intégrale enregistrée en live à travers le monde. Le Sixième Quatuor, que Beethoven finit de composer en 1800, est resté célèbre pour son ultime mouvement de caractère mélancolique, qui renvoie peut-être à la prise de conscience de sa surdité prochaine. Dans ses dernières mesures, la joie de vivre prend néanmoins le dessus sur l’accablement. Du Quinzième Quatuor, Beethoven se contenta de dire : « c’est une des œuvres les plus dignes de mon nom ». Tel un ex-voto, le colossal Adagio (plus de deux-cents mesures, le mouvement durant près de vingt minutes) porte la mention « chant sacré de reconnaissance à la Divinité par un convalescent ».
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2020 coïncide avec le vingtième anniversaire du Quatuor Ébène. Sensible au message beethovénien, celui-ci place cette intégrale sous le signe du partage.
Quatrième volet de l’intégrale des quatuors de Beethoven que le Quatuor Ébène donne à la Philharmonie de Paris, dans le prolongement de la parution de son intégrale enregistrée en live à travers le monde. Le Sixième Quatuor, que Beethoven finit de composer en 1800, est resté célèbre pour son ultime mouvement de caractère mélancolique, qui renvoie peut-être à la prise de conscience de sa surdité prochaine. Dans ses dernières mesures, la joie de vivre prend néanmoins le dessus sur l’accablement. Du Quinzième Quatuor, Beethoven se contenta de dire : « c’est une des œuvres les plus dignes de mon nom ». Tel un ex-voto, le colossal Adagio (plus de deux-cents mesures, le mouvement durant près de vingt minutes) porte la mention « chant sacré de reconnaissance à la Divinité par un convalescent ».
Salle des concerts - Cité de la musique
Découvrir la salleComment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris