Opéra en concert
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Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
•
Durée : environ
3h00
dont 1 entracte
Programme
Jean-Baptiste Lully
Armide
(version de concert)
Tragédie lyrique sur un livret de Philippe Quinault
Prologue, Acte I, Acte II
Entracte
Acte III, Acte IV, Acte V
Distribution
Les Talens Lyriques
Choeur de chambre de Namur
Christophe Rousset, direction
Marie-Adeline Henry, soprano, Armide
Antonio Figueroa, ténor, Renaud
Judith van Wanroij, soprano, La Gloire, Phénice, Mélisse
Marie-Claude Chappuis, soprano, La Sagesse, Sidonie, Lucinde, une bergère héroïque
Marc Mauillon, baryton, Aronte, la Haine
Douglas Williams, basse, Hidraot
Cyril Auvity, basse, Le chevalier danois, un amant fortuné
Etienne Bazola, basse, Ubalde
Emiliano Gonzalez Toro, ténor, Artémidore
Hasnaa Bennani, soprano, Une nymphe
Afin de préparer votre venue et de faciliter les contrôles liés au plan Vigipirate renforcé à la Philharmonie de Paris, nous vous remercions de vous présenter aux entrées en avance.
Armide est la dernière tragédie en musique née de la collaboration de Lully et de son librettise Quinault. Le sujet – l’amour malheureux de la magicienne Armide pour le chevalier Renaud – est tiré de la Jérusalem libérée du Tasse.
5 février 1686. La foule s’empresse pour aller découvrir la onzième et dernière tragédie lyrique de Lully et de son librettiste Quinault. Et elle ne s’y trompe pas : Armide, véritable chef d’œuvre, sera auréolée d’un succès durable. Le sujet, tiré de la Jérusalem délivrée du Tasse, est bien connu : il met en scène, comme les précédents Amadis et Roland, l’amour de la magicienne Armide pour le chevalier Roland. Et pourtant, la tragédie lyrique classique atteint là un aboutissement total, tant au niveau littéraire que musical.
L’œuvre compte, entre autre pages d’une intensité rare, le célèbre monologue d’Armide « Enfin, il est en ma puissance », érigé en modèle du récitatif à la française. Il deviendra même, dans les années 1750, un enjeu de la Querelle des Bouffons, à propos duquel se disputeront Rameau et Rousseau.
Christophe Rousset pose ainsi un point d’orgue sur son parcours à travers la tragédie lulliste. Après Roland, Persée, Bellérophon, Phaéton – dont le récent enregistrement a été exceptionnellement couronné par la critique – et Amadis, la redécouverte tant attendue d’Armide par Les Talens Lyriques constitue le point culminant du travail artistique de ces dernières années.
Armide est la dernière tragédie en musique née de la collaboration de Lully et de son librettise Quinault. Le sujet – l’amour malheureux de la magicienne Armide pour le chevalier Renaud – est tiré de la Jérusalem libérée du Tasse.
5 février 1686. La foule s’empresse pour aller découvrir la onzième et dernière tragédie lyrique de Lully et de son librettiste Quinault. Et elle ne s’y trompe pas : Armide, véritable chef d’œuvre, sera auréolée d’un succès durable. Le sujet, tiré de la Jérusalem délivrée du Tasse, est bien connu : il met en scène, comme les précédents Amadis et Roland, l’amour de la magicienne Armide pour le chevalier Roland. Et pourtant, la tragédie lyrique classique atteint là un aboutissement total, tant au niveau littéraire que musical.
L’œuvre compte, entre autre pages d’une intensité rare, le célèbre monologue d’Armide « Enfin, il est en ma puissance », érigé en modèle du récitatif à la française. Il deviendra même, dans les années 1750, un enjeu de la Querelle des Bouffons, à propos duquel se disputeront Rameau et Rousseau.
Christophe Rousset pose ainsi un point d’orgue sur son parcours à travers la tragédie lulliste. Après Roland, Persée, Bellérophon, Phaéton – dont le récent enregistrement a été exceptionnellement couronné par la critique – et Amadis, la redécouverte tant attendue d’Armide par Les Talens Lyriques constitue le point culminant du travail artistique de ces dernières années.
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Découvrir la salleComment venir
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M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris