Récital orgue
Wayne Marshall
Ager, Baker, Ducasse, Willan, Verdi, Marshall
Dimanche 7 février 2021 — 18h00
Annulé
Programme
Andrew Ager
Toccata et Fugue
George Baker
Deux Evocations
Jean Roger-Ducasse
Pastorale
Healey Willan
Introduction, Passacaglia et Fugue
Giuseppe Verdi
Ouverture d'Un bal masqué (arrangement de Wayne Marshall)
Spuntato ecco ( extrait de Don Carlo, arrangement de Wayne Marshall)
Wayne Marshall
Improvisations sur des thèmes de Verdi
Distribution
- Wayne Marshall, orgue
Comme ses grands prédécesseurs qui ont façonné le répertoire organistique, Wayne Marshall est un improvisateur chevronné et un transcripteur passionné. Ce récital se conclut par une relecture de mélodies de Verdi, avec la participation du public.
L’Anglais Wayne Marshall s’inscrit dans une longue tradition organistique qui remonte à Frescobaldi, Froberger, Buxtehude, Bach et Messiaen : celle de la virtuosité, de l’invention et de l’improvisation. Son programme est constitué de pièces méconnues du répertoire du XXe siècle – du Bordelais Jean Roger-Ducasse à l’Américain George Baker en passant par les Canadiens Andrew Ager et Healey Willan, qui renouvellent chacun à leur manière les formes canoniques de la musique d’orgue. Entre appropriation du matériau et démonstration de virtuosité, l’improvisation sur des airs connus était un passage obligé des maîtres de l’instrument, notamment Franz Liszt. Cette réflexion donne matière à un jeu entre le musicien et la mémoire de ses auditeurs : « Qu’est-ce qu’une fausse note dans une improvisation ? », demande Wayne Marshall. « Il n’y en a pas. » Le récital se termine par des transcriptions et improvisations autour de thèmes de Verdi.
L’Anglais Wayne Marshall s’inscrit dans une longue tradition organistique qui remonte à Frescobaldi, Froberger, Buxtehude, Bach et Messiaen : celle de la virtuosité, de l’invention et de l’improvisation. Son programme est constitué de pièces méconnues du répertoire du XXe siècle – du Bordelais Jean Roger-Ducasse à l’Américain George Baker en passant par les Canadiens Andrew Ager et Healey Willan, qui renouvellent chacun à leur manière les formes canoniques de la musique d’orgue. Entre appropriation du matériau et démonstration de virtuosité, l’improvisation sur des airs connus était un passage obligé des maîtres de l’instrument, notamment Franz Liszt. Cette réflexion donne matière à un jeu entre le musicien et la mémoire de ses auditeurs : « Qu’est-ce qu’une fausse note dans une improvisation ? », demande Wayne Marshall. « Il n’y en a pas. » Le récital se termine par des transcriptions et improvisations autour de thèmes de Verdi.