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Spectacle
Suites dansées
Christophe Rousset - Alban Richard
Vendredi 13 mars 2015 — 20h30
Programme
Louis Couperin
Suite en sol mineur
Jean-Henri d' Anglebert
Suite en ré mineur (Premier Livre de pièces de clavecin, 1689)
Gaspard Le Roux
Suite en fa majeur (Livre de pièces de clavecin, 1705)
François Couperin
Prélude en la majeur
Cinquième Ordre (Premier Livre de pièces de clavecin, 1713 – extraits)
- La Logivière – Allemande
- Première Courante
- Seconde Courante
- La Dangereuse – Sarabande
- Gigue
- La Bandoline
Distribution
- Christophe Rousset, clavecin
- Alban Richard, danse
Le contrat entre eux, c’est que le claveciniste choisit au dernier moment quelques suites de danse des XVIIe ou XVIIIe siècles. Et le danseur vient s’y mesurer en improvisant. Quant au public, il partage l’intimité de ce moment d’écoute réciproque.
La danse irrigue les œuvres pour clavecin de Bach, Rameau et Couperin, dont Christophe Rousset est un des plus éminents spécialistes. Gigues, gavottes, menuets et autres rigaudons sont le prétexte à une célébration du rythme qui va de pair avec une inventivité mélodique sans fin. Quoi de plus logique qu’un danseur sur scène pour accompagner ces flots de musique ? Chorégraphe de l’ensemble l’Abrupt, Alban Richard improvise sur ces suites choisies au dernier moment, calquant ses mouvements sur ce que ces sons lui dictent. Le spectateur se fait le complice de ces instants partagés, une forme d’apothéose de la danse ou chacun des artistes puise chez l’autre la source de sa propre inspiration.
La danse irrigue les œuvres pour clavecin de Bach, Rameau et Couperin, dont Christophe Rousset est un des plus éminents spécialistes. Gigues, gavottes, menuets et autres rigaudons sont le prétexte à une célébration du rythme qui va de pair avec une inventivité mélodique sans fin. Quoi de plus logique qu’un danseur sur scène pour accompagner ces flots de musique ? Chorégraphe de l’ensemble l’Abrupt, Alban Richard improvise sur ces suites choisies au dernier moment, calquant ses mouvements sur ce que ces sons lui dictent. Le spectateur se fait le complice de ces instants partagés, une forme d’apothéose de la danse ou chacun des artistes puise chez l’autre la source de sa propre inspiration.